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  • Pudique

    Bien sûr, nous voyons mieux avec une loupe, mais quelle indiscrétion ! Et le coléoptère remue ses pattes dans tous les sens pour tenter de cacher son abdomen, où il situe sa pudeur.

  • Des ingrats

    Ils avaient peut-être un peu massacré quelques indigènes et s’étaient enrichis sur leur dos, n’empêche, les colons auraient aimé au moins un petit merci avant de partir.

  • Sous conditions

    Voir Venise et mourir. D'accord mais comme un de mes amis, à 105 ans, sous un masque de satyre, étouffé par une brassée de vénitiennes en délire.

  • Coup de torchon

    Avait-elle voulu bien faire, comme elle le clamait, ou bien la bonne à qui le collectionneur de timbres avait signifié son proche licenciement avait-elle sciemment aéré à la fenêtre ces vieux albums « qui sentaient la poussière » ?

  • A peu de chose près

    Le port du masque de plongée, incompatible avec celui des lunettes de vue, est la cause de maintes méprises. Car autant le dauphin tolère caresses et chatouillis sous le ventre, autant le requin les abhorre.

  • Carré

    Politique courageux, il avait décidé de dire tout haut ce que son électorat pensait tout haut.

  • Un peu de méthode

    Bon. Pas de panique. D'abord se défaire du pessimisme ambiant. Ensuite, voyons... Courir le plus vite possible ?

  • Velu

    Le premier poil repousse la lame, le second la casse. La génétique a fait de ces progrès !

     

  • Détail technique

    « Que celui qui n'a jamais pêché jette la première pierre ». Les gars se regardent. Partout autour : du sable.

  • Prenez cinq minutes...

    ... et lisez cet éditorial du Monde (écrit par Rocard, oui, mais qui donne un éclairage trop peu souligné sur la crise que nous traversons. )

  • Slow attitude

    Excessivement prudent (et exceptionnellement patient, car le contrat datait de trois ans), le tueur à gages avait attendu que passe son corbillard pour tirer sur le président.

  • L'émission qui vous voeux du bien

    Je n'ai pas pu résister à vous retranscrire ci-dessous les voeux de l'équipe de l'émission "Là-bas si j'y suis" de Daniel Mermet (France Inter chaque jour à 15 heures). Décidément trop délicieux pour les garder aux quelques abonnés de leur news letter, comme on dit.

    "Merci chers Auditeurs Modestes et Géniaux, grâce à vous, Là-bas se porte bien, et même très bien, selon la dernière enquête Médiamétrie, l’émission vient de battre un record d’audience historique, avec 145 000 auditeurs nouveaux en un an, vous êtes au total 558 000 à embarquer chaque jour pour Là-bas à 15 heures, merci à vous tous !

    Toujours amicale, la direction de France Inter n’a pas manqué de féliciter chaleureusement  toute l’équipe pour les prouesses de la réalisation, la qualité des reportages, pour l’esprit critique et l’indépendance de notre ligne éditoriale « Depuis vingt ans, vous dénoncez l’emprise  de la dictature financière, aujourd’hui l’histoire vous donne tragiquement  raison, vous êtes l’honneur de cette maison ». Les applaudissements n’en finissaient pas, toute l’équipe était émue, les confrères surtout, avaient tenu à venir nous saluer, bravo, merci,  c’est Bourdieu qui avait raison, vive Noam Chomsky ! Vive Frédéric Lordon ! Vive les ouvrières de Moulinex ! A bas le Parti de la Presse et de l’Argent ! Têtes baissées, certains même à genoux, venaient dire à quel point ils s’étaient gravement fourvoyés. Nous les avons rassurés, pas de chasse aux sorcières, pas d’épuration, pas de camp de rééducation.

    Les résistants de la 25eme heure faisaient assaut de zèle. Alexandre Adler hurlait qu’on fusille Alain Minc sur le champ !  Pour Jean-Marc Sylvestre, déchaîné, c’est tous ceux du Fouquet’s qu’il fallait guillotiner sans jugement. Tout modeste, Martin Bouygues nous offrait les clés de TF1 « en vue de la re-nationalisation », disait-il, ajoutant, la main sur le cœur : « Non pasaran ! ».

    Tandis que, le poing levé, David Pujadas et Jean-Michel Apathie entonnaient l’Internationale,  personne n’avait remarqué, par une porte dérobée, le directeur de France Inter  s’éloignant  sur une simple mobylette avec sa  guitare sur le dos, après avoir laissé à son assistante un message pour dire qu’il  reprenait  son honnête  chemin de chansonnier  et qu’il était inutile de tenter de le faire revenir.

    Un vœu qui fut rigoureusement respecté."

  • D'accord...

    ... je veux bien vous souhaiter tout ce que vous voulez pour la nouvelle année, à condition que la réalisation de ces souhaits ne contrecarre pas la réalisation des miens.