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Sport

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    Le coureur cycliste n'en peut plus. Il voudrait tellement laisser tomber. Mais il y a cette magnifique jeune fille dans la foule, qui l'encourage à chacun de ses passages...

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    Sans dopage, un bond spectaculaire par dessus la barrière. L'accélération du taureau derrière l'athlète avait-elle été déterminante ?

  • Yoyo

    On déplore qu'Hillary, vainqueur de l'Everest, ait si peu rendu hommage à ses compagnons, aussi méritants que lui. Certes, mais il faut se souvenir que le sherpa Tersing avait malicieusement remplacé le drapeau néo-zélandais par celui du Tibet et que, furieux, Hillary a été obligé de descendre pour remonter avec sa bannière, sous les regards hilares et peu charitables des autochtones.

  • Le sport contre la migraine

    Le fameux Jeu de Front se pratiquait à l'origine avec des carreaux d'arbalète que les joueurs tentaient d'arrêter avec la tête. Cette pratique n'eut qu'un temps. On s'avisa qu'on pourrait remplacer les flèches par des ballons. Le jeu perdit en intensité ce qu'il gagna en nombre de survivants à la fin d'une partie. Mais un certain ennui se fit jour et le jeu tomba rapidement en désuétude. Glorieuse histoire du sport.

  • Si ça continue, vous allez le lire entièrement et gratuitement sur Kronix...

    "Roanne a accueilli nombre de championnats, de rencontres internationales dans de nombreux domaines, et je suppose qu'il faut s'en féliciter. Roanne a aussi accueilli le Tour de France. Qui se souvient de l'acmé brusque et bref qu'il provoqua, admettra que tant d'agitation suivie de tant de silence laisse un goût d'hébétude. On objectera le sens de la fête, le prestige, le gain en terme d'image médiatique... Comment le solitaire, rétif aux glorioles sponsorisées, peut-il expliquer aux foules enthousiastes son incapacité à frémir aux exploits d’athlètes rémunérés ? A y bien réfléchir, tout ça n’est peut-être qu’un problème de vérité. A celui pour qui importe avant tout de ne pas mentir, ou à tout le moins, de ne pas être dupe des mensonges des autres, l’immense foire bariolée qui bouscula la quiétude de nos rues paraît une synthèse de tout ce que la société peut générer de superficialité. Sueur médicamentée et bicyclettes incroyablement sophistiquées, vertige publicitaire, klaxons multi-tons, triomphes, défaites et jusqu’au corps des athlètes aux mollets hypertrophiés : tout est déformation, artifice, mythologie factice d’une société qui paye ses héros. S’il reste une vérité, miraculeusement indemne au milieu de cette tempête abrutissante, c’est l’enthousiasme des spectateurs, sincèrement émus d’une chute, réjouis d’une victoire. Concédons à l’épreuve cet unique éblouissement : deux rives d’émotion vraie que traverse un fleuve de cynisme acidulé. J'ai bien encore quelques flèches susceptibles de filer contre la pratique du sport collectif en général mais à quoi bon ? Et puis j'avais promis d'être court."

  • Le triomphe de la volonté

    Nous avons réussi, mon fils et moi !

    Deux hommes, face à l'adversité, au coeur de la tourmente, luttant contre les éléments, ont fait ce qu'aucune bête n'aurait fait !

    Nous avons, en deux heures seulement, changé, raccordé, ajusté et branché un chauffe-eau de 200 litres ! Et qui marche ! (important)

    Cet acte restera, dans les annales familiales, comme l'amorce d'une ère nouvelle où plus rien n'est impossible, où la perceuse et le tuyau de cuivre, le joint de 8 et la cale en bois ont livré leurs secrets ultimes, où l'outil s'est conformé à la volonté de ses maîtres.

    J'imagine déjà des carrelages à reprendre, des vérandas à construire, des cloisons à abattre. Attention, voisins : les hurlements d'hier (because cumulus tombé sur doigts écrasés) n'étaient que les prémisses de bricolages plus extrêmes.

    (Finalement, le bricolage donne plus de satisfaction que l'écriture... NON, je déconne !!!)

    Accessoirement, je suis rentré de vacances, donc.

    Demain, je scanne mes petits dessins.