Décidément, je 'narrive pas à mettre de grandes images. Je laisse tomber. (dégoûté)
Le Puy du Fou. Le village XVIIIè reconstitué (comme le village médiéval, ça rigole pas : c'est pierres et vraies poutres partout).
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Décidément, je 'narrive pas à mettre de grandes images. Je laisse tomber. (dégoûté)
Le Puy du Fou. Le village XVIIIè reconstitué (comme le village médiéval, ça rigole pas : c'est pierres et vraies poutres partout).
Impossible d'installer un petit logiciel de retouches. Les croquis scannés ne rendent rien. Je mets les moins pâles. On va voir ce que ça donne... Cliquer sur les images pour agrandir.
Nous avons réussi, mon fils et moi !
Deux hommes, face à l'adversité, au coeur de la tourmente, luttant contre les éléments, ont fait ce qu'aucune bête n'aurait fait !
Nous avons, en deux heures seulement, changé, raccordé, ajusté et branché un chauffe-eau de 200 litres ! Et qui marche ! (important)
Cet acte restera, dans les annales familiales, comme l'amorce d'une ère nouvelle où plus rien n'est impossible, où la perceuse et le tuyau de cuivre, le joint de 8 et la cale en bois ont livré leurs secrets ultimes, où l'outil s'est conformé à la volonté de ses maîtres.
J'imagine déjà des carrelages à reprendre, des vérandas à construire, des cloisons à abattre. Attention, voisins : les hurlements d'hier (because cumulus tombé sur doigts écrasés) n'étaient que les prémisses de bricolages plus extrêmes.
(Finalement, le bricolage donne plus de satisfaction que l'écriture... NON, je déconne !!!)
Accessoirement, je suis rentré de vacances, donc.
Demain, je scanne mes petits dessins.
Juste une pause... Quelques jours de vacances. Merci.
Pas de photos, peut-être quelques croquis si j'ai le temps, et le goût pour le faire. Retour dans une semaine maxi. Bonnes vacances à tous.
... et je ne suis pas étonné.
http://desourcesure.com/politiqueaffaires/2007/06/in_bed_with_la_police.php
Bonjour, monsieur Kargo ?
Oui. Bonjour.
Magnnfll de la société Pipolin and Co. Quel âge avez-vous, monsieur Kargo ?
Euh... 47 ans...
Ah. Je m'excuse de vous avoir dérangé monsieur Kargo, et je vous souhaite une bonne journée
Euh... Merci mais..
Clic.
Je vais bientôt devoir créer une rubrique rien que pour ça ('sont fatigants, là-haut) :
http://www.rue89.com/2007/07/07/pataques-du-gouvernement-concernant-la-la-palme-dor
Monsieur Kargo ?
Mouiii.
Bonjour monsieur. Je suis Claire, de la société Télé pipolin, nous avons actuellement une offre de...
Oui oui non, mais... écoutez, je sais que vous faites un métier impossible et que vos appels et les réponses sont surveillées, mais sincèrement, vous n'êtes pas tombée sur le bon client. Pardonnez-moi, mais quel que soit le produit, je dois vous dire que je n'en ai rien à faire.
Je peux tout de même vous en parler, monsieur Kargo ?
Non. Je vais terriblement faire chuter vos statistiques de la journée, et vous ne pouvez pas vous le permettre, hélas. Croyez-bien que je le regrette, mais je vais vous demander que nous cessions cette conversation, pour vous. Parce que les exécutives qui épluchent vos stats, ne vous pardonneront pas d'avoir pris du temps, pour convaincre un type qui, manifestement, n'est pas un gogo.
Mais...
Admettons que vous ayiez droit à une minute pour percevoir si vous avez à faire à un client potentiel : et bien nous avons déjà grillé ces merveilleuses soixante secondes d'échange non commercial. Je trouve cela aussi dommageable que vous, mais cette société ne nous laisse pas le loisir de nous parler autrement que dans un but misérablement lucratif. J'aurais aimé vous connaître autrement. J'espère que vous aurez plus de chance avec d'autres. Au revoir, mademoiselle, courage.
Merci monsieur, au revoir.
Clic
C'est en France (ce pays, terre de libertés et d'accueil, vous vous souvenez ?), et c'est aujourd'hui (c'est-à-dire au XXIème siècle).
La suite d'une affaire boudée par les médias, mais qui commence à faire de plus en plus de bruits, grâce au net.
Bonjour monsieur Kargo ? Carine, de la société Pipolin. (Bonjour madem...) Monsieur, je vous appelle pour vous présenter les nouvelles offres de notre société...
Ecoutez, mademoiselle, je ne voudrais pas vous choquer, mais j'ai cru à une urgence, et nous étions en train de faire l'amour. Alors, j'y retourne, vous comprenez ?
Ah euh... Je vous souhaite une bonne continuation, monsieur.
Clic.
Bonjour monnsieû, je suis bien chez monnsieûû Koarrrgott ?
A peu près, oui
Valérrrrie de la sociétê Pipolin. Monnsieû Kargott, je me perrmets de vous appeulerr carr nous souhaytons vous offrrrir un cadeau qui..
C'est très gentil, mademoiselle, vous êtes charmante. J'aurais adoré perdre un temps inutile en votre compagnie, mais je crains que vos supérieurs ne soient pas d'accord. Je vous remercie de votre appel, vous souhaite une bonne journée et que vous trouviez chez d'autres, plus de compréhension et de générosité. A présent, si ça ne vous ennuie pas, je vais raccrocher. Merci encore de votre appel.
Aon Rrevoirr monnsieûû.
Clic.
J'ai vu tout à l'heure, à l'occasion d'une balade, mains dans les poches, au Forum, la cassette du film de Leconte "Viens chez moi, j'habite chez une copine".
En gros, sur le dos de la jaquette, le titre, en bleu, bien net : "VienT chez moi, j'habite chez une copine".
J'en ai marre.
Deleuze, cité par Pierre Assouline sur son blog, expliquait il y a vingt ans, la différence entre être de gauche et "ne pas être de gauche". J'adhère. Et j'applaudis quand il dit que ce n'est pas une question de beauté de l'âme, mais "d'adresse postale".
« C’est d’abord une affaire de perception. Ne pas être de gauche, c’est quoi ? c’est un peu comme une « adresse postale ». Partir de soi, la rue où l’on est, la ville, le pays, les autres pays, de plus en plus loin. On commence par soi et dans la mesure où on est privilégié et où on est dans un pays riche, on se dit « Comment faire pour que la situation dure ? ». On sent bien qu’il y a des dangers et que cela ne va pas durer. Oulala la Chine …comment faire pour que l’Europe dure encore, etcetera. Etre de gauche, c’est l’inverse. C’est percevoir d’abord le pourtour des choses. Le monde, le continent, l’Europe, la France, la rue de Bizerte, moi. C’est un phénomène de perception, percevoir d’abord l’horizon. Ce n’est pas par générosité, ni par morale, c’est une question d’adresse postale. Tu vois à l’horizon, tu sais simplement que cela ne pourra pas durer, ces milliards de gens qui crèvent de faim et cette injustice absolue. On considère que ce sont là les problèmes à régler. Et ce n’est pas se dire simplement : il faut diminuer la natalité. C’est trouver des arrangements, les agencements mondiaux. Etre de gauche, c’est souvent que les problèmes du tiers monde, sont plus proche de nous que les problèmes de notre quartier. C’est vraiment une question de perception. Pas de belle âme. C’est ça d’abord être de gauche pour moi».
Excellent investissement : pour un euro, j'ai acheté cette cassette VHS, avec trois épisodes de Star Trek (la vieille vieille série, hein). Et bien, grâce aux deux épisodes de "la ménagerie", je viens de comprendre un truc essentiel !
Eh les mecs, vous affolez pas ! Sarkozy n'est pas président de la République ! C'est une illusion des créatures télépathes de la planète Thalos IV.
Depuis que je sais ça, comme ça va mieux ! Merci Star Trek.
Je pourrais faire l'étonné, mais ça ne m'amuse pas, la dérive était inscrite dans le statut abusif de l'hyperprésidentialité, conceptualisée par Machin.
Suite de l'écoeurement généralisé ici.
Juste pour claironner la naissance de ce blog, vagissant sous la plume d'un véritable auteur, lui.
Bon vent à ce nuage de chair.
Selon la FAO, l'agriculture bio peut nourrir la planète.
En conclusion de cet excellent article de Rue89, ce paragraphe qui, soudain, glace l'optimisme que le reste du texte faisait naître :
"L'avenir de l'agriculture est dans le bio, ne saccageons pas la planète. A nous de la défendre contre l'épandage de poisons, la perte de sens de l'agriculture industrielle, et contre la position du Conseil européen du 12 juin 2007, qui vient d'imposer aux consommateurs de l'UE l'acceptation d'une contamination des produits bio à hauteur de 0.9% (comme les produits non bio), pour rendre impossible toute revendication d'absence d'OGM, et ne pas gêner l'industrie des biotechnologies."