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  • Le Radical Hennelier 13

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Le Radical Hennelier 12

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Le Radical Hennelier 11

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Le Radical Hennelier 10

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Interlude

    C'est un ami écrivain qui, il y a des années, m'a initié au principe du feuilleton. Les lectures de Jean Ray ou Maurice Leblanc nous avaient inspiré l'écriture d'une série en hommage, située vers 1920 : Les aventures d'Adrien Destalles, chaque roman bénéficiait d'un titre grand style : « La forteresse maudite », « le sang de la momie », etc. Il s'agissait de pondre très vide un épisode chacun, systématiquement suspendu à une suite par un « cliffhanger » de folie, que l'autre reprenait en se frottant les mains, etc. L'occasion de jeter un roman sur la machine à écrire en une grosse journée, de l'aube au crépuscule. C'était crevant, stimulant, jouissif. Vous aurez sans doute remarqué que le radical Hennelier n'est pas d'une grande qualité littéraire ; je ne le renie pas pour autant, mais ce feuilleton est un petit exercice futile effectué pendant que mes chantiers plus sérieux prennent forme. C'est ma façon de me changer les idées, écrire vite, sans relecture, m'amuser à créer du suspens tous les deux paragraphes. Je dois vous le confier : ce mode de détente comporte certains dangers. Le goût de l'efficacité peut prendre le pas sur une certaine recherche, et obliger à une période d'adaptation pour corriger les mauvaises habitudes prises dans la précipitation, quand il s'agira de se mettre à écrire de façon plus pensée. Curieux interlude, n'est-ce pas ? Je voulais seulement rassurer les personnes qui suivent mon travail : l'idée d'offrir de la bonne littérature ne m'a pas quitté. C'est juste la récré, quoi, ce feuilleton. J'espère que vous vous amuserez autant à le lire que moi à le produire.

  • Le Radical Hennelier 9

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Le Radical Hennelier 8

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Le Radical Hennelier 7

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  • Le Radical Hennelier 6

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Le Radical Hennelier 5

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  • Le Radical Hennelier 4

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  • Le Radical Hennelier 3

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  • Le Radical Hennelier 2

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  • Le Radical Hennelier 1

    Toutes les notes du feuilleton « Le Radical Hennelier » sont effacées. Le texte, repris, repensé, réécrit et enrichi, sera proposé à l'édition. D'où la disparition de sa forme embryonnaire ici. Je vous remercie de votre compréhension.

  • Côté lectures

    Je n'oublie pas que je suis le parrain du club de lecture de la Médiathèque de Gilly-sur-Isère. J'ai ressorti mes notes et je vous propose ici ce que je retiens de mes lectures en 2012 : Sida mental de Lionel Tran, L'art français de la guerre d'Alexis Jenni, L'idée fixe de Paul Valéry, L'Exilé de René Pons, Un certain mois d'avril à Adana de Daniel Arsand, De si jolis chevaux de Mac Carthy, des nouvelles de Borges, Degrés de Michel Butor, Sept façons de tuer un chat de Matias Nespolo, Engeances de Frédérick Houdaer, Marius Beyle de Laurent Cachard, L'interrogatoire de Jacques Chessex, Ce qui stimule ma racontouze entretien avec Georges Pérec, L'auteur et moi d'Eric Chevillard, un inédit de Christian Degoutte, deux inédits de Daniel Arsand, Dans ma maison sous terre et Le cri du sablier de Chloé Delaume, Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan, Passion simple et La place d'Annie Ernaux, Les Nuits d'Hitachi de Sylvie Gracia, Dans la lumière des saisons de Charles Juliet, Hurraman Scriptu de Jean-Luc Lavrille, Explication des oiseaux de Lobo Antunes, Voyage avec mes ânes en côte roannaise de Jean-Yves Loude, Loin d'eux de Laurent Mauvignier, Amère indienne, Pierres de folie et Un homme à la mer d'Emmanuel Merle, L'odeur de l'Inde de Pasolini, Les choses, Un homme qui dort, Quel vélo à guidon chromé au fond de la cour et La vie mode d'emploi de Georges Pérec, Errata de Georges Steiner, Hangars de José-Flor Tappy, L'urgence et la patience de Jean-Philippe Toussaint, La journée vide de Joël Vernet, Dr Haricot de Fabrice Vigne.

    Moins aimé : la trilogie new-yorkaise de Paul Auster (Cité de verre, Les revenants, La chambre dérobée), L'été du chien de Sylvie Gracia, La traversée de l'été de Truman Capote, Cour Nord d'Antoine Choplin, La horde du Contrevent de Damasio, Suites impériales de Easton Ellis, Excursion nocturne de Simon Narvaez, Les Revenentes de Georges Pérec, Le bagne de Jean Genet, Le grand homme de Philippe Soupault, pour ne parler que des plus intéressants (car je vous engage à les découvrir, c’est de la très bonne littérature tout cela, évidemment).

    Belles découvertes aussi : les revues Décapage, Le Tigre, Cabaret et Le Believer.

    Voilà. Bonnes lectures.

  • Dans le bureau ovale

    Et puis quelqu'un eut une idée : il suffisait d'envoyer les enfants au combat en Afghanistan puisque, statistiquement, ils auraient moins de chance de se faire tuer là-bas que dans une classe. Le président se frotta le menton, ça méritait réflexion. L'autre, enthousiaste, ajouta : En plus, on pourrait faire l'échange, mettre les soldats à l'école. Ce serait un progrès, socialement.

  • Histoire drôle

    Je songe à faire un petit bilan peu original de l'année qui s'achève. Pour l'instant, il me revient le bonheur que je dois à un échotier local. Le fou rire de mes enfants. Quand j'ai raconté à table que j'étais tricard dans le plus grand hebdomadaire de la région, ma fille a demandé : « mais qu'est-ce que tu as encore fait, papa ? » J'ai raconté cette histoire débile. On a beaucoup ri. Merci, monsieur l'échotier. J'aime voir mes enfants rire aux éclats.

  • Exécution musicale

    Le bourreau mélomane préfère décapiter les condamnés à la scie musicale. C'est long, mais tellement plus chic.

  • Tête d'affiche

    Vernissage d'une exposition l'autre soir. J'y croise souvent des amis, des connaissances, et des visages que je connais sans pouvoir mettre un nom dessus (ma spécialité, mémoire affligeante). L'un de ceux-ci, justement, s'adresse à moi. Belle face lumineuse,  sourire franc, bien habillé, cheveux blancs, il me dit « ça va ? » je suppose qu'on se connaît, son visage ne m'est effectivement pas inconnu, je salue à mon tour. On passe. Plus tard, autour du traditionnel pot qui clôt ce genre d'événement, je retrouve le gars qui m'interpelle : « Et Untel, qu'est-ce qu'il devient ? » (Untel est un archéologue réputé chez nous) « Je l'ai vu hier, il est toujours en forme » L'autre : « C'était mon prof dans Tel lycée... » etc. Bon. Toujours très souriant, le type (mais oui, je le connais, un ancien copain de classe ? Non...) me parle comme ça un moment, on échange sur l'expo, sur l'archéologie locale. Je le quitte enfin, retrouve des amis, on discute. Une collègue me désigne de loin le type avec qui je viens de parler : « Tiens ? Il est venu, lui ? » Justement, dis-je, je crois que je le connais, mais alors, impossible de me souvenir.
    « C’est le candidat Front National local. » dit-elle sans ménagement.

    Et merde.

  • La nature est bien faite

    Avez-vous remarqué que la taille des adultes, longueur des bras et des doigts, est calculée de façon à ce que les petits enfants qui commencent à marcher puissent s'accrocher pile-poil aux mains de leur grand-mère d'un côté, de leur grand-père de l'autre ?