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Web - Page 3

  • C'était en Charybde...

    C'était à la librairie Charybde, le 24 octobre dernier, un enregistrement de la soirée par nos libraires, mis en ligne, et que je découvre. Pour les fans exclusivement (ça dure plus d'une heure).

     

  • Voir grandir "Voir Grandir"

    Quelle frustration ! Je ne peux pas, je ne peux pas mettre en ligne ce qui motive cette énorme frustration, mais je vous assure, je suis tout ébaubi : le compositeur attitré de la compagnie Nu, le musicien de chacune de mes pièces en fait, travaille en ce moment sur la mise en chanson d'une série de textes que je lui ai dédiée. Cela s'intitule « Voir Grandir » et vous avez pu avoir un aperçu des thèmes via Kronix, qui en a publié quelques extraits. Chaque semaine ou presque, Jérôme Bodon-Clair m'adresse les fichiers de ses somptueuses maquettes, qui sont à chaque fois un tel régal, un tel régal... Ah, j'ai hâte de pouvoir vous faire goûter ses mélodies, ce travail hors-normes, prélude à un « vrai » album !
    L'aspect original de cette production tient dans la manière dont nous avons abordé sa construction. Après la superbe expérience musicale de Jérôme sur « Nos Futurs » et « Lucifer Elégie », nous sommes convenus qu'il ne fallait pas changer de méthode et j'ai donc écrit les textes de l'album sans tenir compte d'une possible mise en musique, d'une versification, rimée ou pas. Une sorte de poésie brute, telle que vous la découvrez dans les billets intitulés « Voir Grandir », sur ce blog. C'est à partir de ce matériau non conventionnel que Jérôme travaille. Et cela donne forcément une forme différente, des mélodies qui épousent la musique du texte, enfin une vraie découverte pour nous tous. Et ce n'est pas fini : l'autre comparse de la compagnie Nu, Marc Bonnetin, va au final s'emparer de tout ça et imaginer des sortes de vidéo-clips (là aussi, forcément en marge des clips existants). Tout ce travail, avec des bribes d'écriture préparatoire, des infos, des photos, sera l'an prochain mis en ligne sur un site dédié. J'ai hâte de vous faire partager cette merveilleuse aventure, cette histoire aussi amicale qu'artistique.

  • Dans l'Huma

    Je ne me permettrais pas de le faire autrement, mais il se trouve que ce superbe article de Jean-Claude Lebrun n'est pas paru, pour cause de grève dans la presse, pile ce jour-là. On me dit qu'il n'y a aucune chance pour que le papier soir re-publié. Je le mets donc en ligne. Sinon, vraiment, ce serait gâcher.

    Lire donc L'épopée industrielle, par Jean-Claude Lebrun, dans l'Humanité du 17 octobre.

  • En attendant

    Godot chante généralement en Anglais. Godot est extrêmement talentueux, Godot est un bosseur infatigable, et c'est la moindre de ses qualités. En ce moment-même, Godot s'empare d'une série de textes dont Kronix a dévoilé quelques extraits. Godot mitonne ce que je serais tenté d'appeler un bijou, une perle, une merveille. L'élaboration d'un album est un long long voyage, un périple, une odyssée. Un autre partenaire rejoint l'aventure et va apporter la magie de ses images. Au terme de tout ça, je suis très confiant, je suis sûr qu'on va vous épater. Vous l'avez compris, Voir Grandir sera le beau projet de 2015, après Pasiphaé et avant Les Nefs de Pangée, autant de façon pour moi d'aborder l'écriture, et de rencontrer des gens de qualité. Je vous tiens au courant, bien sûr, d'ici la fin de l'année je pense, un site dédié vous contera les escales de cette grande traversée.

  • La chasse

    Bon allez, ce soir, pour des raisons que j'expliquerai un jour, je vous mets juste cette vidéo en ligne. Mon cher Abdel, respect.

  • Changez tout

    J'ai trouvé ce petit film tellement bien fait et probant que je crois qu'il mérite d'être diffusé le plus largement possible.

     

  • Prix Rosny aîné

    Depuis 1980, le prix Rosny aîné récompense des œuvres de science-fiction (romans et nouvelles) parues en langue française sur support papier au cours de l'année civile précédente.

    Mausolées est dans la liste pour ce prix (rien d'extraordinaire : TOUS les livres SF ont leur chance, au départ).

    Si vous avez lu mon roman, et si vous pensez qu'il le mérite, vous pouvez voter pour lui ICI (jusqu'au 31 mai 2014)

    Après une première sélection faite par les lecteurs, un deuxième tour est réservé aux inscrits de la 41e convention nationale de science-fiction (du 17 au 20 juillet 2014 à Amiens). C'est là que tout se décide. Au vu des lauréats des éditions précédentes, je dois dire que, ma foi, je n'aurais rien contre rejoindre cette belle brochette. Et puis, le prix étant une statuette de l'ami Caza, je dois dire que, ça aussi, ça me motive pour oser vous demander de voter pour moi.

    merci de votre soutien.

  • Trompe-l'oeil

    Ce billet n'existe pas. Il a été écrit ultérieurement à sa date de parution, paradoxe temporel permis par le web. Ce billet n'a d'ailleurs rien à dire, rien à prouver, il ne paraît aujourd'hui que par peur du vide laissé dans un calendrier autrement parfaitement comble. C'est fait, il ne sera pas dit que Kronix était épuisé au point de négliger cet aspect essentiel de sa forme : l'obstination du diariste. Enfin, tout de même, si : son style trahit la fatigue, je l'admets.

  • ALIROULU - Saison 2 - Premier épisode

    Oui, car on ne considère pas un hors série (fut-il consacré à Proust et servi par l'immense François Podetti) comme un "vrai" numéro. Voici donc enfin, le premier épisode de la seconde saison de l'émission ALIROULU. On retrouve Jean-Baptiste Hamelin, de la libraire Le Carnet à Spirales de Charlieu, et on découvre la Médiathèque de cette petite ville, le tout dans une bonne lumière estivale.

    Au sommaire Razvan Radulescu et Lidia Jorge.

    A lire, si vous ne les avez pas lus.

     

  • Don Juan 2.0

    Lassé des plaisirs virtuels, le geek s'employa au tir à belles réelles.

  • Bouffée d'oxygène

    Samedi dernier, à Tarare, tandis que la ville se recroquevillait sous une pluie froide et déprimante, j'ai eu le plaisir d'être interviewé par Marie-Louise Hansen, chroniqueuse d' Oxygène-Radio. L'habillage de la radio (ah, les bons vieux effets de réverb' sur le logo), la couleur des voix qui s'y font entendre, m'ont rappelé le temps où nous sévissions sur les ondes, avec notre accent et notre bonne volonté, au micro des premières radios libres. Le web permet de réinventer ce médium, en tout cas de faire renaître la veine enthousiaste de ses pionniers. Je me suis plié avec grand plaisir à cet exercice, dont voici l'enregistrement intégral en deux parties. Merci à Marie-Louise, merci à son technicien. Vivent les radios libres !


    podcast

     


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  • Nolife TV parle de Mausolées

    Mausolées fait son bonhomme de chemin, comme me l'avait prédit mon éditeur. On reste encore dans la sphère Geek et férus de littérature de l'imaginaire, mais j'aime bien le peu que disent les chroniqueurs de cette émission de Nolife TV. C'est à partir de la septième minute (non pas que ce qui précède ou suit ne soit pas intéressant, mais bon, je suis chez moi).

  • ALIROULU saison 2

    Pour commencer la nouvelle saison de Aliroulu, un hors-série (il y en aura d'autres), spécial Proust. Avec François Podetti qui raconte, lit, explore un des nombreux moments de grâce de "A l'ombre des jeunes filles en fleurs". Réalisation Yohann Subrin.

  • Des lectures

    Intéressants, évidemment, les retours de lecteurs. Je vous lie les dernières critiques de Mausolées :

    Sur "Qu'importe le flacon"...

    et sur "Zazimuth"

    Une très complète (et d'un tout autre niveau) sur "Naufragés volontaires"

    Merci pour l'effort. C'est agréable de provoquer assez d'élan pour motiver un billet.

  • Infidèles

    Je sais que, parfois, vous m'êtes infidèles. C’est normal, pas de culpabilité je vous en prie. Vous allez en lire d'autres, je sais. Moi, même Chevillard parfois, me lasse. Et puis je reviens. Je comprends donc parfaitement que vous ne veniez pas chaque jour ici pour lire mes élucubrations, pas toujours fines il faut bien le dire. C’est la raison du rythme quotidien de Kronix, d'ailleurs : car je me veux fidèle envers vous. Je suis la Pénélope du web (comme d'autres, hein), je vous attends, je patiente. Chaque jour je prépare votre couche, fais le ménage, dispose un bouquet de fleurs sur le guéridon et aère les pièces, pour le cas où, soudainement, vous réapparaîtriez sur le seuil. Allez, allez en voir d'autres, va ! Je ne vous hais point. Non non, ne culpabilisez pas, surtout pas, moi je suis là, je vous attends. Voilà voilà.

  • Week end à Deauville.

    Je vous conseille un petit passage chez "le minotaure est fait de chair", le blog d'Oslo Deauville. Épatant, comme on disait d'mon temps.

  • Protoproverbes

    Passés à la moulinette des traductions en ligne (traduits en hébreu, puis en chinois, puis en arabe, en allemand et versés dans la langue d'origine), des proverbes produisent ces phrases intrigantes :

    Quand il n'a pas de dent maintenant, une telle chose a du pain

    Tant que le pichet (lanceur) de l'eau ceci a interrompu

    On le considère pour être le mieux du sienne

    Quant au début de La Recherche, suivant un procédé complexe (français > chinois ; chinois > arabe ; arabe > japonais ; japonais > hébreu ; hébreu > français, le voici : "La longue période de temps où ceci est très premier pour dormir".

    Ce n'est pas si mal. Maintenant, essayez de retrouver les vrais proverbes qui se cachent sous les traductions (qu'est-ce qu'on s'amuse sur kronix !).

  • Echange de bons procédés

    Un texte de Fabrice Pousserot, de Calamités quotidiennes


    Au départ, l’idée paraissait rigolote : 7 Mars 2012- 7 Mars 2013, une année complète de « Calamités Quotidiennes », il fallait marquer le coup, un billet mémorable, un dessin avec un gâteau des bougies et des « tsoin tsoins », ça aurait pu le faire.
    Et puis, bon, quand même, tout cela aurait à mes yeux, détonné, égard à l’humour parfois potache, mais discret au regard des chiffres de fréquentation de ce blog nouveau né.
    Quelle idée donc, quel trait de génie permettrait de marquer dignement le 365ième jour d’existence de mon défouloir quotidien ?
    Un Génie ? Mais, bonsangmaiscébiensurje m’exclamait ! Un Génie ? Un Génie ! Je l’avais trouvé ! Ne me restais plus qu’à contacter par mail l’imenssissime Christian Chavassieux qui m’avait chaudement recommandé, plus d’un an avant, de compiler sur un blog les inepties que je semais à tout vent sur un célèbre réseau social : « Ouvre un blog ! » qu’il m’avait écrit, laconique et impératif, « Ouvre un blog ! », j’avais imaginé, fertile penseur que je suis la suite de ce court message :

    « Ouvre un blog ! »

    Ou je te pète la gueule
    Ou je te crève tes pneus
    Ou je te scie ta canne

    J’avais donc imaginé tous les scénarios possibles devant cette simple suggestion bienveillante de ce vieux Chavass’ ( je sais, Christian, je suis certainement le premier à t’affubler de ce sobriquet ridicule, mais c’était simplement une volonté facile de créer une intimité fictive, une espèce de vieille camaraderie qui me pousserait à t’interpeller ainsi en te gratifiant d’une solide bourrade alors que nous dégusterions un verre de « Préfontaines » accoudés à un zinc minable, mon vieux Chavass’ alors que je le sais bien, moi, que tu préfères le Chivas, mais cessons là cette parenthèse incongrue qui m’amène une fois de plus bien loin du sujet dont c’est y que je voulais causer, ça m’énerve quand je m’éloigne comme ça du thème  que je voulais traiter, vous ne pouvez pas savoir à quel point ça m’angoisse cette tendance lourde à la digression, ça me coûte une fortune chaque semaine, allongé sur un divan freudien à me demander s’il est bien judicieux de………)

    Le mail que j’envoie à Christian est également concis, précis : je lui propose de lui laisser, ce 7 Mars, la page blanche de mon blog !

    10 minutes après le mail

    Réponse de Christian, l’idée l’amuse, l’intrigue même, il me propose donc carrément d’échanger nos blogs ce jour là ! Mince alors, moi qui  comptait me la couler douce ce jour là, non seulement il va falloir que j’écrive mais , de plus, en essayant d’y glisser un peu de talent, écrire sur « Kronix », quand même, ça mérite de transpirer un peu……….
    L’idée me vient d’un Conte, d’une Fable, une aventure improbable qui mettrait en scène l’Auteur du « Psychopompe » et du « Baiser de la Nourrice ».
    Café, noir, fort, gnole de coing dans le café, les doigts transpirent sur le clavier comme lorsque ,enfant, je participais aux auditions de piano de l’école de musique, l’histoire commence, Chavassieux, tel un Jack Torrance hexagonal, décide, le temps des quelques mois nécessaires  pour écrire un roman , de devenir gardien d’un Musée, on ne se refait pas, fermé l’hiver, dans un coin perdu d’une lointaine cambrousse de montagne, loin des stations à la mode, on imagine la neige , le vent dans les sapins. Le Musée, on n’en doute pas est hanté des âmes des personnages qu’il présente, et, tout au long du temps, la terre est durcie par le froid, Christian ne peut, pour se détendre, chasser les taupes, Chavassieux est gagné par une psychose, une folie violente, qui le pousse au Crime.
    A la toute fin du film, de ce « Shining » franco rural, gros plan, sur une photo jaunie, au fond de la vitrine qui présente la maison du rebouteux, du sorcier, on reconnaît sans peine le visage halluciné de Christian Chavassieux, en paria du village tel le Zorg inquiétant de «  La Maison assassinée ».

    L’idée est bonne, amusante même, mais………………………………..
    ….. Mais la pensée, tout soudain que Christian Chavassieux  puisse, ne serait ce même que moralement persécuter sa Douce, me semble intolérable, si ce n’est inqualifiable !!!!!!!!

    Au panier donc le Kubrick de pacotille, parodie avortée, il me faut une autre idée ! Et je repense à l’insolent et inachevé : « Radical Hennelier ».
    Coup de main que j’imagine précieux à l’auteur en panne je décide de terminer l’histoire qui nous laissait sur notre faim, agacé, ou désespéré, cochez les mentions inutiles,  au matin du 4 Janvier sur ces derniers mots :
    « Dans le sourire de mes frères et sœurs, je perçois la vie nouvelle et libre qui nous attend. Dès que nous serons assez nombreux. »
    Que je conclus, désintéressé que je suis par un glorieux :
    « TSOIN TSOIN ! »


    Calamiteusement……………..

     

    Ehé. Et voilà, rendez-vous donc, vous l'aurez compris, ce même jour, sur le blog de Fabrice pour considérer l'autre facette de l'échange. On aurait pu se dire, pour rester du côté de Jack Torrance : "Viens jouer avec moi."

  • ALIROULU 2

    Notre dernier pilote pour l'émission Aliroulu (cliquer sur le texte en gras précédent. Je le dis, parce que certains ne savent pas. Et oui. Sur la page qui s'ouvre alors, descendre un peu : la vidéo est sous la bannière. Je le dis parce que certains ne descendent pas. Si, si.) Toujours les judicieux conseils du carnet à Spirales, à Charlieu, le conseil d'une lectrice (l'excellent Peste & Choléra de Patrick Deville), et l'interview de Dominique Iacovella des éditions La Rumeur Libre.