Mausolées fait son bonhomme de chemin, comme me l'avait prédit mon éditeur. On reste encore dans la sphère Geek et férus de littérature de l'imaginaire, mais j'aime bien le peu que disent les chroniqueurs de cette émission de Nolife TV. C'est à partir de la septième minute (non pas que ce qui précède ou suit ne soit pas intéressant, mais bon, je suis chez moi).
Livres - Page 21
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Nolife TV parle de Mausolées
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Soliloques du pauvre
Bon, je bafouille deux-trois fois (c'est un méquier, dirait Jehan-Rictus) : lecture de "L'Hiver"
de Jehan-Rictus, justement.Ah oui : ça date de 1894.
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L'expérience du texte
Plus de livres. Bon, dommage. Des textes numériques mis en réseau, très bien. Des échanges à leur propos, des commentaires communs ou pointus, pourquoi pas ? Mais il faudra bien assouvir le besoin de l'expérience collective, du partage direct du ressenti.
Après tout, le théâtre est peut-être le médium le mieux placé pour poursuivre la geste littéraire.En tout cas, ma prochaine pièce, Pasiphaé, sera jouée en janvier 2015 au théâtre de Roanne (scène régionale).
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Relatif
Bien sûr, il est invité chaque fois à La Grande Librairie, mais quelque chose d'amer le tenaille malgré le succès du moindre de ses livres et ses ventes record partout dans le monde. Sa mère n'a jamais lu un seul de ses bouquins.
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ALIROULU saison 2
Pour commencer la nouvelle saison de Aliroulu, un hors-série (il y en aura d'autres), spécial Proust. Avec François Podetti qui raconte, lit, explore un des nombreux moments de grâce de "A l'ombre des jeunes filles en fleurs". Réalisation Yohann Subrin.
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Des lectures
Intéressants, évidemment, les retours de lecteurs. Je vous lie les dernières critiques de Mausolées :
et sur "Zazimuth"
Une très complète (et d'un tout autre niveau) sur "Naufragés volontaires"
Merci pour l'effort. C'est agréable de provoquer assez d'élan pour motiver un billet.
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S.A.V.
- Tiens, j'ai lu votre livre...
- Ah. Je vous dois quelque chose ?
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Tradition
2013 aura été une année médiane, intermédiaire. Elle a concrétisé la publication de Mausolées (signée dès 2012) et augure de plusieurs publications en 2014 (deux livres dès le premier trimestre : Lucifer Elegie chez Sang d'encre et La Joyeuse au Réalgar), la représentation de la pièce Pasiphaé en septembre (écrite en 2011) et la publication de L'Affaire des Vivants chez Phébus, à la rentrée de septembre 2014 (signée là aussi dès 2012). Une année qui, sans la Médiathèque de Gilly, aurait un peu manqué de relief littéraire, donc. Gilly, souvenez-vous fidèles lecteurs : il s'agissait d'une carte blanche à laquelle Laurent Cachard nous fit le plaisir de participer et, en plus, pour laquelle il imagina une petite production bicéphale intitulée Réversibilités. L'occasion de réaliser qu'il vaut mieux éviter d'organiser des rencontres le samedi soir en juin (beaucoup de propositions concurrentes), et que je ne suis décidément pas un bon interviewer. C'est l'année, pour prolonger le cas Cachard, de la sortie de son dernier opus La troisième jouissance du Gros Robert, et l'année où j'eus enfin l'occasion de l'écouter lire, accompagné de ses amis musiciens. Et d'entendre les premières lignes de son futur grand roman.
Autrement, moi, et bien, j'ai continué d'écrire. Un inédit à propos d'un ami de plus de trente ans, un texte à conserver dans le secret, et pour ma douce, des mots de tendresse et de compassion, qui figureront dans le recueil de Sang d'encre, à paraître en janvier, me dit-on. Et puis des romans. Oui : des, parce que je ne sais faire que ça. Je ne résisterai pas à l'envie de vous en donner quelques extraits, en cours d'année. Je me connais. -
Se rappeler du titre
Une nouvelle calamité sur calamités quotidiennes ? Pas vraiment, en tout cas, mieux vaut ne pas lui en faire le reproche.
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Mausolées en Psychovision
Sous la plume d'un certain Stegg, une nouvelle critique de Mausolées. A lire ici. Bon, le gars s'est un peu emmêlé les pinceaux sur les règles du jeu du Palais des fous, mais vu la complexité du machin, je ne saurais lui en tenir grief; et son analyse est intéressante. Je ne sais pas qui c'est, mais merci à lui.
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Interview LPR
Par manque de place, l'interview d'Isabelle Sylvère pour le Pays roannais a été tronquée. C'était prévisible et ce n'est pas grave, puisque la voici en intégralité. J'ai reformulé les questions, pour ne pas être accusé de reprendre le moins du monde des mots qui ne seraient pas les miens.
A noter que je serai demain, de 16 heures à 18 heures, à l'Espace Leclerc de Riorges, pour dédicacer Mausolées. Si vous ne venez pas pour moi, vous pouvez venir pour l'ami Didier Guérin, qui présente son dernier livre de recettes gourmandes. En général, il prépare des petites choses à grignoter. Je vous dis ça comme ça.
La première question concernait mon parcours d'écrivain :
J'écris depuis toujours, et depuis toujours sous des formes diverses. J'ai évoqué la genèse de mon travail dans « J'habitais Roanne » où il ressort que notre ville a construit mon identité d'écrivain (et non de philosophe (?), comme certains l'ont écrit). Je suppose que l'écriture correspond à mon goût pour la solitude, le travail secret et lent. Enfant, j'écrivais de vastes fresques, des récits d'aventure inspirés de mes lectures d'alors. Je lisais beaucoup, sans souci de distinguer des genres ou même des auteurs. Petit à petit, une exigence s'est faite, mon goût s'est formé. J'ai appréhendé avec plus de pertinence ce qui caractérise un style, un engagement. J'ai pris conscience que raconter des histoires n'était pas une motivation suffisante, qu'il fallait un enjeu d'ordre littéraire. Mes premières nouvelles ont été primées dans divers concours, mais j'avais en tête des récits plus amples. J'ai écrit plusieurs romans sans songer à m'auto-publier, je voulais absolument que mon travail passe le filtre professionnel d'un éditeur. Cela s'est produit tardivement, en 2008, après des années d'écriture secrète, avec « Le Baiser de la Nourrice ». Depuis, les publications s'enchaînent et j'en suis à renoncer à certaines propositions, faute de temps. Une situation que je n'osais même pas rêver il y a seulement un an.
La seconde question concernait mes influences :
Je reconnais toutes les influences, mais ceux qui me lisent savent combien il est difficile de m'attribuer une ligne, une « école ». On a évoqué certain courant de la littérature espagnole pour situer mon univers. S'il fallait trouver une lignée, elle serait particulièrement tortueuse, mais elle intégrerait certainement les influences d'auteurs aussi différents que Proust, Michon, Homère, Chevillard, Hugo, Céline, King, Brussolo, Roth, Lobo Antunes, Delhaume, Rabelais, Borgès, Flaubert, etc, etc. Nous sommes tous des métis culturels.
La troisième concernait mes méthodes d'écriture
Je rumine un projet pendant des années, jusqu'au jour où je suis prêt à entrer dans l'histoire (c'est une notion importante, être prêt, parce que vous allez devoir vivre avec ce livre pendant dix ans ou plus, si l'on cumule les temps d'écriture, de publication, les rencontres autour du livre. Il faut que vous soyez certain que ça vaut la peine d'y consacrer tant d'années de votre vie). J'ouvre un dossier, écris une note d'intention avec une date de clôture à laquelle je me tiens, et je commence. Après, il suffit de travailler sans relâche. Une bonne pratique est de laisser un roman achevé dans un tiroir et de l'oublier pendant qu'on en écrit un autre, de ne le ressortir qu'après six mois ou un an, voir comment il supporte une lecture plus distanciée, et le reprendre s'il a passé honorablement cette épreuve. J'en ai ainsi plusieurs qui n'y sont pas parvenus et resteront dans leur boîte, à jamais. Ne surtout pas considérer que tout ce qu'on écrit vaut la peine d'être publié.
Ensuite, il s'agissait de dire si la noirceur de Mausolées correspondait à mon point de vue sur le monde actuel.
Nous sommes dans la description d'un futur, une sorte de Moyen âge où un monde chancelant doit se relever d'une période de conflits terribles. Tout est à reconstruire et à repenser. Une période qui ressemble à ce qui nous attend après les grandes dévastations économiques et environnementales qui s'annoncent. Je n'ai pas modifié les hypothèses de la première version de ce roman, pensées il y a quinze ans. Si je n'avais pas perçu alors l'importance que prendraient le fait religieux ou la puissance des multinationales, je vois bien qu'on s'achemine vers un chaos similaire à celui que je décris dans Mausolées. En même temps, je suis optimiste : les bactéries survivront.
La question suivante prolongeait la précédente et insistait sur cette notion de noirceur. Il y était question aussi de la désintégration de la société, initiée par celle de la culture.
J'ai des écrits plus lumineux, mais Mausolées entre dans ma veine « noire », c’est vrai. « Il se peut que l’humanité se fatigue d’elle-même, s’ennuie de porter son grand projet. Son vaste corps n’en peut plus d’œuvrer sans cesse. Elle cherche à en finir. Mais elle n’a qu’elle-même pour réaliser ce désir de mort. » dit un des personnages. La destruction est à l’œuvre dans notre goût absurde pour l'agitation, le mouvement inconséquent. La perte de la culture qui est la grande angoisse de ce roman, ou du moins le mépris dans lequel on la tient sous prétexte que c’est l'affaire d'une élite, est l'amorce de tous les désastres. Haine, folie destructrice, le malheur découle du peu de temps qu'on laisse pour se poser, pour réfléchir. Il y a peu, j'étais censuré par ce journal pour avoir contesté un propos selon lequel on doit servir aux lecteurs ce qu'ils sont censés désirer lire. Le fait qu'on me laisse m'exprimer librement ici aujourd'hui est peut-être le signe que, finalement, comme dans mon roman, certains s'interrogent, comprennent qu'il y a de la place pour les idées abstraites, et qu'elles ne sont pas nécessairement des « prises de tête » d'intello. Cela dit, « anticipation » ne signifie par forcément « goût pour le désespoir », mais il est difficile de voir l'avenir en rose. Récemment, Mnémos m'a commandé une nouvelle pour une anthologie sur les utopies qui marchent. C'était une gageure. J'ai dû ruser pour y parvenir. Je suis affreusement lucide.
Autre question, sur le choix du genre. La Science-fiction.
Le genre s'est imposé de lui-même, effectivement dans le prolongement des thèmes qui inspiraient le récit. Je voulais décrire la perte de l'identité consécutive à la perte de la mémoire, à la maladie et au vieillissement, à la fois au niveau de l'individu et au niveau d'une société. Imaginer un futur dépourvu de livres et où les documents numériques ont presque intégralement disparu, permettait d'explorer ces notions. Mais de nombreux lecteurs, pas du tout amateurs de SF, m'ont dit avoir pénétré dans cet univers sans problème. Ce n'est pas, malgré toutes les apparences, un roman « de genre ».
(là, une question et une réponse laissées intégralement dans le journal. Je ne la reproduis donc pas)
Enfin, la question habituelle sur les projets.
Un autre roman est pratiquement achevé. Il fait partie de ceux qui sont restés six mois « en réserve ». Il a bien tenu le choc d'une nouvelle lecture, mais il y a encore trois ou quatre mois de travail dessus pour en faire un livre digne d'être présenté au public. Je crois que je le proposerai, je ne sais pas encore à quel éditeur. On verra. En début d'année 2014 sortira une nouvelle illustrée par Winfried Veit au Réalgar, puis un recueil de poésie chez Sang d'encre, illustré par Corie Bizouard, ensuite ce sera la rentrée littéraire en septembre avec « L'Affaire des Vivants », chez Phébus, puis il y aura ma pièce de théâtre, « Pasiphaé », puis une trilogie chez Mnémos, une autre pièce, « Minotaure », la préquelle de « Mausolées » et ainsi de suite. J'ai minimum cinq ans de chantiers d'écriture assurés. Entre-temps, j'écris les billets quotidiens de mon blog et des scénarios de BD pour les copains, ça me détend. -
Mausolées vu par Cachard
C'est travaillé, ça, monsieur, c'est du Cachard, oui, j'ai de la chance, hein ?
A lire sur son blog, sa critique de Mausolées.
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En tapinois
La loi ne punit pas encore les clients des librairies. Vous pouvez entrer à visage découvert, exiger de l'auteur présent la dédicace la plus vicieuse, la plus perverse, personne ne vous en tiendra rigueur.
Je traîne du côté de chez Mayol, rue Charles de Gaulle à Roanne, aujourd'hui à partir de 15 heures. Ma spécialité : la langue.Lien permanent Catégories : actu, Ecrire, Livres, rencontres avec des gens biens, Shopping 3 commentaires -
Pince-moi
Interview pour l'hebdo local qui avait censuré "J'habitais Roanne" lors de sa sortie. Non ? Si ! J'ai accepté, parce que la journaliste était gentille et sincèrement intéressée, et que j'y voyais le moyen de glisser ceci :
"Il y a peu, j'étais censuré par ce journal pour avoir contesté un propos selon lequel on doit servir aux lecteurs ce qu'ils sont censés désirer lire. Le fait qu'on me laisse m'exprimer librement ici aujourd'hui est peut-être le signe que, finalement, comme dans mon roman, certains s'interrogent, comprennent qu'il y a de la place pour les idées abstraites, et qu'elles ne sont pas nécessairement des « prises de tête » d'intello."
A votre avis ? ça va rester ? (oui, peut-être après tout, mais alors avec un commentaire assassin, j'imagine. Mais ça m'étonnerait)Ce qui est le plus surprenant dans cette affaire, c'est que la direction, en suspendant un boycott qui aura duré deux ans, estime donc que je n'ai pas eu vraiment tort de moquer les saillies affligeantes d'un de ses journalistes, ou alors faut-il en conclure que la solidarité dans la rédaction est périssable, sinon, pourquoi me contacter ? Personnellement, je n'ai rien demandé et je me fiche pas mal d'apparaître dans cet hebdo.
Je vous tiens au courant (d'autant plus qu'une bonne âme va sans doute les alerter sur l'existence de ce petit mot). Ah oui : contrairement à eux, s'ils ont quelque chose à dire, l'espace de mon blog leur est ouvert.
Une hypothèse de dernière minute : le journal a été racheté par un titre auvergnat. La direction de là-bas a peut-être fait taire les réticences du responsable roannais. Ce qui signifierait que la rédaction locale n'a plus vraiment son mot à dire. Si c'est le cas, je ne suis pas sûr de devoir m'en réjouir.
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Léo the last (lecteur)
On pourra parler de tout ça ce soir, à partir de 19h30, à la Médiathèque de Charlieu :
"La raison de Kargo vacilla doucement. Il eut la conviction que la bibliothèque avait un sens. Du moins ne pouvait-il l’exprimer d’une autre manière. Il discernait à travers les ouvrages présents, leur nombre, leur agencement, leur titre, leur contenu, une logique préexistante. Une cohérence qui ne devait rien à ses propriétaires, mais que la bibliothèque s’était donnée à elle-même, comme un organisme qui fonctionne selon sa propre nature. Pour Kargo, toutes les interrogations qui lui venaient au sujet de la bibliothèque devaient trouver une réponse par l’existence même de l’ensemble. Les œuvres se questionnaient entre elles, interagissaient selon des schémas qui lui échappaient encore mais qu’il saurait découvrir. Cette manière d’appréhender ce lieu comme une entité vivante, capable de dire quelque chose, lui dicta la lecture de la totalité des ouvrages. Il posa comme principe de commencer cet énorme labeur par le déchiffrement des livres les plus anciens. Tout y passa : antiphonaires, psautiers, cartulaires, almanachs, bréviaires, portulans, obituaires, terriers et rituels ; palimpsestes et incunables, rotules et volumens, en latin ou en grec, puis les romans, les encyclopédies. Sa lecture obsessionnelle s’emballa. À chaque ligne, à chaque mot, il s’agaçait, certain que tout lui était révélé déjà, mais qu’un aveuglement incompréhensible lui masquait une vérité sous-jacente, facilement accessible. Page après page, il s’obstinait dans l’idée que le voile se déchirait lentement, qu’au prochain paragraphe tout deviendrait clair et limpide. Il riait parfois de s’imaginer, dans les secondes prochaines, étonné par la simplicité du secret découvert. Il lisait, il lisait, il lisait, convaincu que le sens de la bibliothèque tomberait à la lecture d’un mot. D’un seul mot. Celui qui était là, dont il percevait la silhouette, au bout de la ligne, ou juste à côté de ce point. Il oublia de manger et ne dormait plus.
De vagues esprits venaient lui parler, et c’était comme une farandole de jappements indistincts et négligeables. Respirer, respirer encore, les fantômes échangent des sourires. Qu’est-ce qu’un monde peuplé d’esprits, sans enfants, et dont la mémoire disparaît ? L’espace vibrait autour d’écrits remarquables noués dans la chair du papier. Apocalypse ! Apocalypse ! hurlait-il parfois, quand la révélation lui semblait imminente. Les yeux étourdis de l’entrelacs des lettres, il n’entendait pas les échos brumeux d’appels têtus. Autour des livres, il n’y eut bientôt plus qu’un néant. Il finit, dans l’exercice constant et incessant de la lecture, par s’oublier lui-même. Dans la nuit qui l’entourait, un fantôme obstiné lui toucha le bras, et l’appela, d’un nom qu’il connaissait.
Il tomba d’épuisement."Extrait de Mausolées.
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Entrez dans Mausolées
Vendredi 29 novembre à 19 heures 30, à la Médiathèque de Charlieu.
Rencontre autour de mon dernier roman, Mausolées, paru à la rentrée aux éditions Mnémos.
L'occasion pour ceux qui l'ont lu de poser toutes les questions, et pour ceux qui ne l'ont pas lu, de découvrir l'univers singulier de ce roman ou d'évoquer plus largement le travail de l'écriture et les différentes phases d'une édition nationale.
Cette soirée est organisée par la librairie « Le Carnet à Spirales » de Charlieu et annonce la séance de dédicaces du lendemain, dans cette librairie.
En attendant, vendredi soir, nulle obligation d'achat mais seulement le plaisir de dialoguer, de débattre, de parler littérature. L'entrée est libre.
Pour en savoir plus, voir la page Mausolées chez Mnémos. -
Critique et interview - Mausolées
Le site ACTUSF est spécialisé, comme son nom l'indique, dans l'actualité de la Science-Fiction. J'ai eu le plaisir de répondre à quelques questions de l'auteur d'une critique de mon livre, Tony Sanchez. La critique et l'interview sont à lire ici :
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Autour de Venise
Jeudi 28 novembre à 18 heures, le musée de Roanne accueille deux lecteurs de l'association Demain dès l'aube. Jean Mathieu et moi-même liront des extraits de Le Voyage du Condottiere d'André Suarés et d'Albertine disparue, de Marcel Proust. Une heure de lecture qui sera précédée d'une visite guidée de l'exposition « Venise au XIXe siècle » par le conservateur du Musée.
L'entrée est de 5,50 euros. -
Mausolées dans son jus
Demain et dimanche, à Roanne, les Gardiens de la Science-Fiction reprennent le flambeau de l'ancien festival de l'imaginaire. Ils me font l'honneur de m'inviter pour cette deuxième édition, avec les auteurs de BD locaux (mais de belle renommée) : les Griffon, Biesse ou Paire. Nous serons tous au coude à coude sur le stand de la librairie Nebular Store, excellente enseigne où se nichent Comics, BD, Mangas et Manwas, et exceptionnellement un peu de littérature textuelle, comme Mausolées. Dans cet environnement, je ne peux faire autrement qu'exécuter un petit dessin sur la page de garde. Les copains dessineux seront indulgents. Et puis l'âge... Ils ont du respect pour les ancêtres.
Samedi 14h-18h, à l'Espace Congrès (derrière l'Hôtel de Ville)
Dimanche 10h-18h (au même endroit, évidemment)
C’est facile à trouver, suivez la foule qui se rend au salon du mariage (également à l'Espace Congrès) et bifurquez juste à temps sur la droite. Vous êtes en sécurité, tout va bien. -
Premières rencontres
Ce vendredi 29 novembre, à 19 h 30 (et non à 19 h, comme je l'annonçais sur RWTV), à la brasserie le Saint-PHilibert, à Charlieu, j'aurai le plaisir de dévoiler quelques secrets de ce livre particulier : Mausolées, paru chez Mnémos cette année. Cette rencontre-débat organisée par la librairie Le Carnet à Spirales, possibilité de se restaurer ensuite.
Également le programme complet des dédicaces qui vient de se confirmer:
Samedi 16 et dimanche 17 novembre après-midi, Espace Congrès (derrière l'Hôtel de Ville) à Roanne, dans le cadre du Festival de Science Fiction de Roanne.
Samedi 30 novembre, de 10 h à 12 h ; dédicace à la librairie Le Carnet à Spirales, rue Chanteloup, à Charlieu.
Samedi 7 décembre, de 15 h à 18 h, dédicace à la librairie Mayol, rue Charles-de-Gaulle, à Roanne.
Samedi 14 décembre, l'après-midi, dédicace à l'Espace Culture Leclerc en compagnie de Didier Guérin, à Riorges.