Une fois n'est pas coutume, une critique mitigée (ce qui, pour l'auteur qui a travaillé à s'en rendre malade équivaut à : une claque puissante dans le mufle), mais je m'étais promis de citer les bonnes comme les mauvaises. Alors voilà. Je réfute tous les points négatifs notés ici. Je ne me "débarrasse" pas de mes personnages et aucun n'a été créé pour meubler. Et la dernière partie, qui a déplu apparemment, est celle qui donne son sens à tout le bouquin. Je regrette que ça n'aie pas été perçu. Pour l'instant, c'est la seule critique de ce genre, j'en déduis que le livre a été très majoritairement compris. On se console comme on peut.
Livres - Page 12
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
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2709
Un grand merci à la Médiathèque de Gilly-sur-Isère, dont le soutien ne s'est pas démenti depuis la sélection du Baiser de la Nourrice en 2009 pour Lettres-Frontière. Une des belles histoires d'amitié que ce prix a générées. L'occasion pour l'équipe d'affirmer qu'elle avait bien raison de "croire" en moi. C'est réciproque. Je crois en cette équipe et en l'énergie de sa responsable, Marielle. En bonus, la vidéo de mon discours, à la fin de l'article, où il est question, justement, de l'amitié.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Pas vraiment récente, la chronique de Phénix était passée sous les radars. L'article entame quelques secrets. Ne le lisez pas si vous voulez bénéficier de toutes les surprises du récit. J'avais rencontré l'auteur de cette chronique, qui m'avait déjà fait part de sa réticence sur l'idée d'une Pangée du futur. Je réaffirme ici qu'il s'agit d'une réalité scientifique. La Pangée future ne s'organiserait pas de la façon dont je la décris, mais l'accrétion des continents en un nouveau super-continent au terme de leur dérive, est une donnée. Les scientifiques l'appellent d'ailleurs "Amasia". Ce qui n'est pas mal non plus.
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2700
Au cours de la table ronde de l'Usage des Mots, à Genève, l'excellent Mathieu Menghini, modérateur du débat où j'étais en présence de Slobodan Despot, subtil colosse auteur de Le miel (et que d'incises et que d'incises !), me demandait en substance pourquoi je me trouvais être auteur d'une littérature du « quelque chose », plutôt que d'une littérature « du rien ». Sans citer Barthes, qui supposait que la littérature est le moyen par lequel nous tentons de nous représenter le réel, je dis d'abord que je vivais quelque part et que j'avais conscience du concret (prisonnier du concret ? C'est possible, je ne le nie pas). Ma littérature, supposais-je, est la conséquence de ce constat. Je n'ai pas le talent d'écrire sur rien, ou en tout cas, de faire semblant d'écrire sur rien (ce rien, qu'en vérité on ne peut concevoir, disons que, passé au filtre des mots, ce serait le subtil aménagement des creux de la vie, un esthétisme du doute, enjeu que je respecte, et manque à cette définition l'exemple d'un auteur, vous compléterez - qui a dit Bobin ? ; je pensais Duras), mais surtout, me vint brusquement à l'esprit que ma possible littérature « de quelque chose », a pour cause le besoin, la nécessité d'élever mes récits à la hauteur des mythes. Pas une prétention, je le redis, mais une nécessité, pour ainsi dire le moteur de mon écriture. Que le but soit atteint ou pas, je ressens le besoin d'embrasser un thème et d'en cristalliser les aspects sous la forme d'un conte mythologique. Ce en quoi, Slobodan Despot m'approuva. Nous avons donc un point d'accord.
Et c'était la 2700e note, les poteaux ! -
2698
La Grande Sauvage ne sortira finalement qu'en 2017, chez Phébus. Non pas que mon manuscrit ne soit pas prêt en temps et heure, soit début 2016 comme prévu, mais mon éditeur (venu me soutenir à Genève, les contrats sous le bras, je suis tout embarrassé par sa vraie gentillesse), ne veut pas gâcher la sortie du roman par une campagne précipitée. Je suis bien d'accord. Comme j'aborde la dernière partie de ce roman, je réfléchis avec plus de sérieux aux chantiers suivants. J'avais d'abord pensé tenir ma promesse à mon autre éditeur, Mnémos, en écrivant la préquelle (ou antépisode pour nos amis canadiens francophones) de Mausolées. Sauf que les événements qui conduisent à l'état de la société telle que décrite dans ce livre, nous sommes en train de les vivre. Relater le plein chaos dont nous vivons les prémices, m'ôte le plaisir essentiel d'un peu d'exotisme. Je suis donc partagé. J'imagine alors, plutôt, travailler sur l'après-Mausolées. Aller voir plus loin, explorer ce qui résultera de tout ça dans 200 ans, retrouver Set-Zubaï et le fantôme de Léo Kargo.
Mon « actualité » de 2016 sera donc théâtrale, essentiellement, avec la reprise de Pasiphaé à Paris, et la création de Minotaure, à Roanne. Il faut bien continuer de se projeter. C'est la nature humaine, je suppose. -
2696
Élève contre la bêtise ce rempart, apaise-moi, que je dorme contre toi. Et pour être certain que la muraille soit assez puissante, lis-moi Proust, s'il te plaît.
(Ce qui fut fait, et je m'endormis) -
2694
Nous étions, samedi, dans une bulle. C'était à Genève, nous savions pour Paris, et les livres et les mots semblaient à chacun l'esquif à quoi se cramponner. Nous pensions à tout le reste, assurément, mais nous restions frileusement dans l'entrelacs des textes, évitant les écrans et les journaux. Se croisaient dans les salles, conversations allusives, soupirs sans insistance, hochements de têtes disant l'impuissance. Il faudrait bien reprendre pieds, il faudrait bien réintégrer le harcèlement des douleurs et partager la sidération des nôtres. En attendant, nous réclamions un peu de répit ; il se trouve que la littérature nous l'offrait, et nous avons savouré ses bienfaits. Les plus audacieux pouvaient deviner dans les effets de ce baume, ce que la littérature, un jour, nous ferait comprendre de tout cela, et comment elle apaiserait les blessures.
Il y eut ce moment où l'une des lauréates du prix Lettres-Frontière l'an dernier – laquelle était-ce ? Paola ou Bettina ?- ouvrit l'enveloppe et prononça mon nom. Ce fut un grand moment, un beau moment, qui me permit de parler de mon affection particulière pour ce prix, et les histoires d'amitié qu'il fit naître, en 2009, alors que je n'étais que sélectionné. Aujourd'hui, donc, j'ai le plaisir et l'honneur d'avoir été distingué. La surprise de voir déjoués mes propres pronostics. Je suis heureux et reconnaissant de ce choix, et des rencontres qu'il va engendrer.
Me voici, de retour devant mon écran, peut-être lu par Paola Pigani, avec qui j'ai pu échanger hier et pendant le trajet en train tout-à-l'heure, et c'est le moment redouté où je vais devoir reprendre contact.Je ne sais pas encore précisément ce qui s'est passé, je n'ai perçu que les quelques bribes que nous autorisions à pénétrer notre isolement déraisonnable, mais je pense depuis hier à ceci : Bien sûr, nos armées ont porté la mort au delà de nos frontières, mais soldats contre soldats, balles contre balles, engagés contre engagés, dans ce qu'on appelle des batailles. Vous, vous portez la mort, volontairement, parmi les innocents. Nous aimons la vie, vous aimez mourir. De vous et de nous, qui vaincra ? Je vous le dis, assassins, ceux qui vivront, ceux qui l'emporteront, sont les amoureux de la vie. Et les amoureux de la vie, c'est nous.
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2691
Comme vous le savez peut-être, L'Affaire des Vivants, mon livre paru l'an dernier chez Phébus, fait partie de la 22e sélection Lettres Frontière. J'en suis très honoré, et heureux surtout parce que cette sélection a du sens pour moi. Le Baiser de la Nourrice, mon premier roman, avait été pareillement distingué, et les rencontres que cette distinction suscita furent fécondes en amitié, et essentielles pour accepter l'idée que, oui, bon, j'étais un écrivain. Ce n'est pas rien. Une sorte de baptême.
Budget limité oblige, je n'ai pu m'autoriser que la découverte des auteurs rhônalpins. À la lecture des ouvrages de mes quatre confrères, je dois dire que je ne sais pas comment va faire le jury pour resserrer son choix sur une seule œuvre « coup de cœur ». Je lui souhaite bien du plaisir. Débats houleux en perspective.
Comment j'ai mangé mon estomac. Si l'humour est la politesse du désespoir, c’en est aussi un des vaccins les plus efficaces. Atteint d'un cancer, tandis que celui de sa femme s'est déjà déclaré, Jacques A. Bertrand nous fait vivre le parcours bien balisé des soins, des salles d'attente, des sondes humiliantes, des chimios et des radios, des rencontres avec des docteur Bo, professeur Po ou docteur No, sans nous infliger de pathos complaisant, ni d'épiphanie finale, alors que tout cela serait légitime. Sa grand-mère disait souvent « ça me fait souci » quand un problème pointait son nez, Bertrand renverse les vapeurs coutumières en sous-entendant « ça me fait écrire ». Et voici bien la capacité de transmutation qu'on demande à un écrivain. Parce que, quand l'œuvre est accomplie, elle l'est pour le bien de tous. Si on ne craignait pas d'énoncer quelque lourdeur à propos d'un livre si alerte, on pourrait même parler de leçon de vie. Mais chut...
Tristesse de la terre. D'abord, d'abord, pour un amoureux des stylistes comme moi, le plaisir de retrouver la belle et puissante écriture d'Eric Vuillard, que j'avais personnellement adorée à la lecture de Conquistadors (2009, déjà ?). Et puis ce thème, prometteur : l'histoire de William Cody, plus connu sous son pseudonyme (effarant et grotesque, quand on y pense) de Buffalo Bill, à partir de son fameux Wild West Show. J'ai lu ce livre assez tôt, avant de savoir qu'il était sélectionné pour Lettre-Frontières, et le souvenir s'en est en partie effacé. Essayons tout de même. Parce que, justement, je me souviens d'un beau moment de lecture, d'une série de surprises, de la tristesse éprouvée pour Sitting Bull, jouant son propre rôle dans le show, des rapports plus ambigus que j'imaginais (l'histoire ne m'était pas inconnue) entre Buffalo Bill et le chef indien. Il me reste de tout cela une vague nausée, une tristesse en effet, l'impression d'au moins un mystère qui résiste à l'auteur lui-même (volontairement, j'imagine, on ne résout rien sans dommages pour la littérature) : qui était William Cody ? L'autre mystère semble le véritable sujet du livre, en tout cas son approche essentielle : quel est ce monde paradoxal qui dévore les faibles pour ensuite en admirer une représentation indécente et rabaissée ? La fascination de l'occident pour ce qu'il ne peut se retenir de détruire.
Le collier rouge. Ruffin, toujours parfait. Un roman court qui pourrait presque inspirer une pièce de théâtre, puisque l'essentiel du livre est soutenu par deux protagonistes qui dialoguent : Lantier, juge venu enquêter sur l'acte de provocation d'un héros de guerre, et Morlac, le héros en question. Il y a aussi un chien mystérieux, souvent hors-champ mais dont les aboiements occupent toutes les pensées. Le moment le plus fort du roman, les quelques lignes qui permettent au récit de l'élever au dessus des considérations habituelles sur la guerre, est le bilan terrible de Morlac sur le vrai héros de guerre : ce chien qui aboie là-bas, qui était avec lui sur le champ de bataille. Normal qu'un chien soit un héros, il est le soldat idéal, parce qu'il est, intrinsèquement, in-humain. La misère du soldat, et sa possible révolte, viennent du fait qu'il est humain, désespérément, et malgré tout. Pour les lecteurs que le sujet pourrait rebuter, qu'ils se rassurent : ça se termine bien pour tout le monde.
Le mal que l'on se fait. Je l'admets, je ne connaissais pas Christophe Fourvel, publié régulièrement chez La Fosse aux Ours et à qui je voue désormais une admiration profonde. Le mal que l'on se fait aurait pu s'intituler L'Etranger, mais c'était déjà pris. Le personnage principal est approché par bribes, au fil d'une déambulation dans deux villes où il va séjourner plusieurs mois, en Amérique latine et en Turquie, avant de revenir en France. Les raisons de son périple et de son retour, nous seront connues dans la troisième et dernière partie, alors que le « il » initial s'est insensiblement mué en « tu », et donc, a fait traverser le lecteur, par cercles concentriques, de l'enveloppe d'un être jusqu'au plus juste de son intimité.
Des récits d'âmes désamarrées, de solitude paumée dans un ailleurs, la littérature en est obèse. Sauf que là, l'errance n'en est pas une, les pas modestes que fait cet homme (comme font tous les hommes, rappelle l'auteur : « Un homme ne peut pas grand chose, il accomplit de petits pas ») le rapprochent d'un enjeu essentiel auquel il doit se confronter, qu'il doit affronter. La pénitence, double, voire triple, tant l'intolérance de ce salaud a provoqué de malheurs. Notre étranger n'a peut-être pas vécu « trois minutes intenses » depuis des années, et cela vaut peut-être mieux : prendre vraiment conscience de l'ampleur du mal qu'il a causé serait insupportable. Et pourtant, après une ultime rencontre, nécessaire et terrible, par laquelle il espérait partager la responsabilité du drame qui l'a lancé dans son périple, il revient au salaud la tâche d'accepter le désastre. L'errance reprend, il n'ira pas loin. De toute façon, pour ceux qui restent, il y a un avenir, et ça, ils n'y peuvent rien opposer.
Le mal que l'on se fait est d'abord un texte, pardonnez ce truisme, je veux dire : il est ce que je cherche dans un livre, une voix, une langue au plus près, l'incessant questionnement des mots pour disséquer ce qui ne nous épargne pas. Bref, un texte. Oserais-je dire que c'est le meilleur livre de la sélection ? Non, ça ne se fait pas, hein ?
De la sélection suisse, je n'ai lu que Le Miel de Slobodan Despot, parce que c'est avec cet auteur que je partagerai une heure de rencontre le 14 novembre, à Genève, dans le cadre de l'Usage des Mots, la manifestation organisée par Lettres Frontière. Je me permettrai de n'évoquer mon ressenti qu'après, de façon à tenir compte de ce que je pourrais apprendre alors.
Pour plus d'information sur les livres et la sélection, rendez-vous sur le site de Lettres Frontière. -
Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
J'adore celle-ci. Je ne connaissais pas "L'ours Inculte", mais le ton, les illustrations et l'à-propos de la critique sont un régal.
"Une des particularités de ce roman est son échelle, au niveau du temps comme de la géographie. Il se déroule sur des dizaines d’années et s’étend sur des milliers de kilomètres et pourtant on ne sent jamais que l’intrigue s’éparpille, tout est cohérent, tout se tient et on ne perd jamais le fil"
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Rencontre
C'est demain, à la bibliothèque de Fleury-la-Montagne.
Maryse Vuillermet évoquera bien sûr "Pars! travaille!" (dont Kronix parlait ici), son dernier livre paru à la Rumeur Libre, mais aussi ses opus précédents, de ses racines, de ce milieu modeste qui l'a construite et lui impose, livre après livre, de relayer la parole des humbles.
Venez nombreux, je vous garantis que ce sera très bien.
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Les Nefs de Pangée - Dédicaces
Je serai demain de 10 h à 18 h, sur le stand des éditions Mnémos, aux Intergalactiques, à Lyon. C'est à la MJC MONPLAISIR, 25 Avenue des Frères Lumière dans le 8e.
J'y serai en bonne compagnie. (Attention : contrairement à ce que dit le programme, on ne m'y verra pas aujourd'hui, samedi.)
Venez me voir...
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Deux très bonnes chroniques pour les Nefs de Pangée en un seul jour. On ne se plaint pas. Ici, un billet des lectures d'Efelle, qui conclut : "Avec cette magnifique fresque, Christian Chavassieux livre une histoire prenante et poignante des plus réussies. Sans nul doute ma meilleure lecture de l'année. Un roman vivement recommandé et incontournable."
Je n'ai pas envie de contredire ce lecteur qui semble avoir beaucoup de goût.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Sous la plume d'un certain Xapur, une nouvelle chronique élogieuse (ne croyez pas que je sélectionne, pour l'instant, c'est unanime (avec quelques réserves sur certains points, parfois). S'il y a une critique négative -et qu'elle est bien écrite- je vous le ferai savoir aussi). Celui-ci note une chose importante, qui n'a pas été relevée par les autres chroniqueurs, sur les révélations de la dernière partie : "Une remise en perspective étonnante qui permet de reconsidérer tout le livre sous un autre angle, à commencer par le titre lui-même..." Eh oui, les Nefs de Pangée ne sont peut-être pas (seulement) celles qu'on croit.
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2664
La porte du bureau est ouverte pour laisser rentrer la chaleur. Les chats s'y invitent donc. Il y a un oiseau dans le bureau, reclus ici pour l'abriter des chats, justement, d'habitude. Les chats viennent l'entourer avec gourmandise et, saisis parfois d'un désir irrationnel, bondissent sur la cage. S'en suivent fracas, débandade, dérapages, injures. Je vous demande de penser à tout ça quand vous lirez « La Grande Sauvage ». Si toutefois j'arrive à l'écrire.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Hors un bémol sur les "ellipses temporelles un peu bâclées" (prends ça), plutôt un bel hommage rendu au genre épique, dont "Les Nefs" se veulent. C'est sur Daylimars, sous la plume de Déborah Gay, qui s'est donnée la peine d'illustrer son billet avec d'autres peintures de John Martin que la couverture du livre.
De chronique en chronique, toujours un parcours rassurant, jusque là. Un jour, je ferai un point et répondrai aux diverses critiques (fondées, oui, mais j'avais mes raisons).
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2654
C'est demain, à partir de 16 heures, à la librairie Mayol, à Roanne.
Cela dit, si je peux me permettre un conseil : vous venez me voir, on discute des Nefs, tout ça, et vers 19 heures, on enchaîne avec Emmanuelle Pagano à la Médiathèque de Roanne.
Il y a pire programme, non ?
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
"Cet usage des archétypes crée un sentiment de confort chez le lecteur qui se laisse bercer par le fil du récit comme dans un cocon douillet. L’auteur le sait et joue avec lui pour créer une révélation au deux tiers du livre qui oblige à reconsidérer toute l’histoire que l’on vient de suivre. Le choc éprouvé crée un moment de suspension où les bras ballants il ne nous reste plus qu’à louer toute la virtuosité de son auteur."
Une critique intelligente, de légères réserves, mais nettement louangeuse. Sur le site SYFANTASY.
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Les Nefs de Pangée à Villeurbanne
Lyonnais, noirs ou blancs, chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes ou athées, végétariens ou carnassiers, grands ou petits, je serai(s) heureux de vous présenter « Les Nefs de Pangée » sur le stand de Mnémos, aux Octogônes, à Villeurbanne , à l'Espace Double Mixte, cet après-midi. Et si vous ne pouvez pas venir, pas de panique, je reviens à Lyon le 24, pour les Intergalactiques.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
"Enfin, comment ne pas évoquer, sans toutefois trop en dire, le « malaise » dans lequel l’auteur plonge le lecteur en le mettant face à des actes cruels, sans que celui-ci ne puisse trouver un camp vers lequel se tourner (alors que d’instinct…) ? Brouillant habilement les lignes, Christian Chavassieux évite tout manichéisme en parlant de guerre, de conflit, de vengeance, de domination, d’incompréhension, de traditions et de changement. Et avec lui, on ressasse sans arrêt l’avis bien tranché que l’on pouvait avoir, sans trop savoir comment se placer."
Une critique synthétique (bien écrite, ce qui me fait personnellement beaucoup de bien), et qui relève les aspects essentiels. A lire sur le blog Lorkhan et les mauvais genres.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Le bon accueil des Nefs se confirme. C'est sur Blog-O Livre, cette fois.