Sous la plume d'un certain Xapur, une nouvelle chronique élogieuse (ne croyez pas que je sélectionne, pour l'instant, c'est unanime (avec quelques réserves sur certains points, parfois). S'il y a une critique négative -et qu'elle est bien écrite- je vous le ferai savoir aussi). Celui-ci note une chose importante, qui n'a pas été relevée par les autres chroniqueurs, sur les révélations de la dernière partie : "Une remise en perspective étonnante qui permet de reconsidérer tout le livre sous un autre angle, à commencer par le titre lui-même..." Eh oui, les Nefs de Pangée ne sont peut-être pas (seulement) celles qu'on croit.
rencontres avec des gens biens - Page 14
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
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Te voilà, c'est toi. Grand cadeau minuscule. Un elfe, une fée, un farfadet, une incarnation, le projet neuf de nos vies. Te voilà, c'est toi, le plus petit géant du monde. Te voilà, Petit Poucet majuscule. Et moi, qui te vois si menu, je me sens grandir, de la terre jusqu'aux nues, j'ai des rires de géant, je suis le père d'une chimère. Il en faudrait des moulins, des fous, des assassins, pour venir à bout de notre force. Il en faudrait des guerres et des séismes pour faire trembler nos murs, il en faudrait. Qui nous résisterait ? Qui pourrait anéantir notre douce tribu ?
Extrait de "Voir Grandir". Sur scène en 2016. Musique de Jérôme Bodon-Clair.
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Il nettoie le pare-brise, vient frapper à ta portière. Tu baisses la vitre et il te sourit. Voilà, tu vois plus clair, l'air autour de toi est renouvelé, et il ne te demande rien. Merci, le poète.
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C'est demain, à partir de 16 heures, à la librairie Mayol, à Roanne.
Cela dit, si je peux me permettre un conseil : vous venez me voir, on discute des Nefs, tout ça, et vers 19 heures, on enchaîne avec Emmanuelle Pagano à la Médiathèque de Roanne.
Il y a pire programme, non ?
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
"Enfin, comment ne pas évoquer, sans toutefois trop en dire, le « malaise » dans lequel l’auteur plonge le lecteur en le mettant face à des actes cruels, sans que celui-ci ne puisse trouver un camp vers lequel se tourner (alors que d’instinct…) ? Brouillant habilement les lignes, Christian Chavassieux évite tout manichéisme en parlant de guerre, de conflit, de vengeance, de domination, d’incompréhension, de traditions et de changement. Et avec lui, on ressasse sans arrêt l’avis bien tranché que l’on pouvait avoir, sans trop savoir comment se placer."
Une critique synthétique (bien écrite, ce qui me fait personnellement beaucoup de bien), et qui relève les aspects essentiels. A lire sur le blog Lorkhan et les mauvais genres.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Le bon accueil des Nefs se confirme. C'est sur Blog-O Livre, cette fois.
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Les Nefs de Pangée - Nouvelle critique
Nouvelle chronique, également enthousiaste. La récompense après tant de travail (je vous jure, l'écriture de ce bouquin m'a valu quelques pénibles aléas cardiaques.) J'espère vraiment qu'il rencontrera des lecteurs en dehors des habitués du genre (parce que, de ce côté là, on dirait que ça s'annonce bien).
Je serai samedi 26 septembre aux Aventuriales de Ménétrol. Si vous souhaitez une 'tite dédicace, agrémentée d'un 'tit dessin...
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Les Nefs de Pangée - Divers rendez-vous
Le premier grand rendez-vous des Nefs avec le public, se déroulera à Paris, pour une manifestation organisée par Les Indés de l'imaginaire (alliance des éditeurs : Mnémos, Les Moutons électriques et ActuSF), ce samedi 12 septembre, au Motif (Passage de l'Atlas, 6 villa Marcel-Lods, 75019 Paris).
A partir de 17 h et jusqu'à 19 h : A l'occasion de la rentrée, Mnémos, Actusf et Les Moutons électriques publient chacun un auteur français : Claire Krust, Chloé Chevalier, Christian Chavassieux. Conférence et dédicaces.Ensuite, les présentations s'enchaînent : le 14 septembre, Villa Gillet, à Lyon à 9h30 : Petit-déjeuner de la rentrée littéraire des auteurs de Rhône-Alpes, en partenariat avec Libraires en Rhône-Alpes. Présentations animées par l'excellente Danielle Maurel.
Idem, le 24 septembre à Cruas, dans la Drôme, à 10 heures, en partenariat avec la Bibliothèque départementale de l'Ardèche et la Médiathèque départementale de la Drôme.
Je serai ensuite aux Aventuriales de Ménétrol, près de Clermont-Ferrand, sur le stand de Mnémos, samedi 26 septembre. Puis, aux Octogônes à Lyon, le 3 octobre. Et à Lyon encore, pour les INtergalactiques, le 24 octobre.
A Roanne, ma première séance de signatures dans ma région, aura lieu à la librairie Mayol, vendredi 9 octobre de 15h à 18 h.
D'autres dates suivent en novembre et jusqu'en mars 2016, mais n'allons pas trop vite. Je reviendrai sur ces différents rendez-vous en temps et heures.
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Les Nefs de Pangée - Critiques et rendez-vous
En attendant le samedi 12 septembre, à Paris, pour la rentrée des Indés, où j'aurai le plaisir de présenter mes Nefs, je lie ici, pour mémoire ou pour info, d'autres critiques de mon dernier roman. Les auteurs ont, dans la mesure du possible, préservé un minimum de révélations et je les en remercie (parce que, au moins pour l'une d'elles, la surprise est essentielle, et pas seulement pour l'effet produit, mais pour la sensation du lecteur, sa place, son implication, ses choix, dans tout le reste du livre. Un peu abscons ce que je dis là, mais vous comprendrez en le lisant).
Yozone ;
Elbakin ;
et
Suivront les rencontres de l'ARALD les 14 et les 24 septembre, puis des salons, des signatures... Je ferai un point bientôt, septembre et octobre promettent d'être chargés.
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Les Nefs de Pangée - L'interview
"(...) ce qui importe, c’est la façon dont ces récits sont fixés et transmis. Le problème devient aigu quand il s’agit de se demander à qui sont destinés les récits d’un monde qui ne laisse pas d’héritiers... C’est l’horrible questionnement d’un des personnages essentiels du roman : Hammassi, la conteuse, quand il s’agit de boucler la légende. Pour qui écrire et pour quoi écrire ? Tous les auteurs aujourd’hui, qui perçoivent que leurs textes n’auront aucune postérité, sont confrontés à la vanité de leur entreprise."
Interview assez complète, plutôt riche. Les très bonnes questions de ACTU-SF et mes réponses, aussi claires que possible.
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Chronique
Les Nefs de Pangée ? Un coup de foudre pour ce chroniqueur du site ACHERON.
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Ce soir, à 21h, au jardin des Ruines ancien Passage Secret à Saint-Haon-le-Châtel (Loire) (le village où la lecture est aimée), l'association Demain dès l'Aube, lira des œuvres de Maupassant. Le lieu est magique, qu'il fasse bon ou qu'il pleuve, et Maupassant, eh bien... vous savez déjà à quel point ses nouvelles sont savoureuses.
Je suis chargé, quant à moi, de lire "Un Normand", extrait des Contes de la Bécasse. Je vais tenter d'en faire passer la drôlerie émouvante.
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Nous rentrions tout à l'heure, ma douce et moi. France Musique (d'ailleurs, était-ce France Musique?) rediffusait une émission sur Charles Trénet. Un morceau s'achève et puis, l'animateur interroge l'invité qui parle avec science et humour de cette vieille idole. On n'ose plus se regarder, ma douce et moi : c'est Cabu. Cabu en vie, qui évoque les chansons du fou chantant. C'est tellement simple qu'on se demande comment tout ça a pu être rejeté dans une autre vie, et que cette autre vie est finie. Bref, on a pleuré pendant quelques kilomètres.
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Quand on écrit, bien sûr, le retour des lecteurs est essentiel, mais la cerise sur le gâteau, le jugement qui sait émousser les doutes, c'est celui de ses pairs, et notamment d'auteurs qu'on admire. Après Daniel Arsand, Laurent Cachard, Christian Degoutte, Maryse Vuillermet, Clément Bénech, Alice Ferney et Lionel Duroy, ce sont les mots d'Axel Kahn que je découvre, sur son blog, à propos de "L'Affaire des Vivants". C'est aussi un peu plus de pression pour "La Grande Sauvage". Je crois aussi que Laurent connaît M. Kahn et je suppose qu'il fut mon héraut en l'occurrence.
Extrait : " Plus encore que l’histoire fort bien troussée, quoique parfois un peu “à la manière de “, c’est le style éblouissant qui mérite vraiment que tous ceux qui aiment la littérature, ses images, sa musique et sa langue, lisent cet ouvrage sans tarder. Une vraie découverte littéraire."
Si on m'avait dit qu'un jour...
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Vacances, canicule... je laisse à d'autres le soin de se fendre d'un texte.
Ici, une critique assez riche et soignée de "Mausolées", paru en 2013 chez Mnémos. Et qui n'est pas disponible autrement que sous le format "Calameo" (si on peut parler de format, disons : sous cette application seulement).
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Grâce à ma veille informatique, je découvre ce blog gourmand où l'auteure associe un livre et une recette. Le 3 juillet, le livre c'était "L'Affaire des vivants" et la recette, le faisan au cidre et aux pommes. Plutôt un plat automnal, mais pas de raison de se priver. Merci, chère lectrice que je ne connais pas (mais qui connaît Saint-Haon, apparemment, ce qui nous fait un autre savoureux point commun) et au plaisir de partager une table, un jour.
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Laurent Cachard, par une vidéo partagée avec quelques amis, m'a remis en tête l'importance d'un auteur comme Bruce Springsteen. Et notamment, l'importance de cette chanson, dans l'album « The Rising » (et tout l'album, globalement, d'ailleurs).
En 2002, le chanteur disait aux New-Yorkais : Allez, debout ! un an après les attentats du 11 septembre. Et ce fut pour la cité le signal qu'une nouvelle histoire commençait. C'est marquant pour moi, ce moment, parce que je vois là l'illustration de ce que devrait être un artiste populaire. Sensible à l'air du temps, et capable de créer avec cela une forme qui le magnifie, le résume d'une façon tellement ajustée avec le ressenti du public qu'on peut avoir le sentiment que l'artiste est un visionnaire, alors qu'il rend intelligible ce qui est encore confus dans la société et, d'un coup, la fait avancer et l'élève.
Malheureusement, il n'y a qu'un boss, et il vit de l'autre côté de l'Atlantique... -
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Hier, revu « Alexandre le Bienheureux » d'Yves Robert, avec Philippe Noiret. Voici un film daté, dont les intérieurs sentent le studio de Billancourt, dont certains gags sont mous et l'interprétation pas toujours parfaite, cependant... Je l'ai revu avec beaucoup de plaisir et d'émotion. Parce que ce film m'a sauvé la vie.
J'avais 14 ans, peut-être, j'étais pensionnaire dans une institution religieuse, on m'imposait des mathématiques ad nauseam, moi qui ne rêvais que d'art et de littérature, je ne comprenais pas le monde du travail et des adultes que je voyais arriver sur moi, non comme une promesse d'avenir, mais comme un train.
Et puis, un jour, un type qui passait avec son projecteur, nous montra ce conte innocent. Je ne sais pas si nos curés apprécièrent l'apologie de la paresse et du temps long que prônait le film, en tout cas, ce fut pour moi une révélation. Quelqu'un d'autre, quelque part, pensait comme moi !
Ce que je devinais du monde, le désir que j'avais de me placer dans une lumière toute bonne et désinvolte, tandis que je voyais les adultes pliés sous des contraintes qui les faisaient renâcler à longueur de journée, se trouvait soudain confirmé par l'autorité dune œuvre cinématographique. C'est ainsi que je comprenais la vie, elle pouvait être douce à qui choisissait de ne pas se vautrer dans l'obscure fatalité du labeur. L'exemple d'Alexandre me donna confiance, me rendit moins amer, moins suspicieux envers la nature humaine. Je n'étais plus seul. On pourrait estimer que son message m'a maintenu dans une sensualité puérile, a retardé ma maturité, c’est le contraire : il m'a fait mûrir, a dégagé la place où je savais pouvoir me redresser.
Bien sûr, tant d'autres films, plus importants filmiquement, mieux achevés et plus riches, m'ont apporté beaucoup, mais « Alexandre le bienheureux » est le seul qui aie su me dire que je n'étais pas une sous-merde vouée au désespoir pour le reste de mes jours. Voilà. De malheureux, j'étais passé à potentiellement bienheureux. Merci, monsieur Robert. -
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L'Affaire des Vivants, vue et lue par Marielle, médiathécaire de Gilly-sur-Isère. Grand merci à elle et à l'équipe. Et à l'année prochaine.
"Par quoi commencer pour exprimer mon ressenti à la lecture ? Peut-être par le mot qui me vient spontanément à l’esprit sitôt la dernière page tournée : « MONUMENTAL».
Est-ce le personnage de Charlemagne, colosse insondable, qui me souffle ce mot ? Le gigantisme de l’époque, dans laquelle s’inscrit cette saga familiale, cette fin XIX°, si bien restituée, avec son développement tentaculaire et sa capacité à broyer les hommes ? les 352 pages qui invitent à de multiples questionnements : sur le destin, le poids de la famille, le poids d’une époque, le faux semblant des relations humaines, le sens du bonheur, celui de l’argent, du travail, de la liberté, l’absurdité de la guerre, l’importance des mots… ? Ou la puissance de l’écriture, quand elle nous plonge avec effroi, humour ou douceur dans des scènes que l’on retiendra ?
Je ne sais ce qui a motivé ce monument, cet « ouvrage d’architecture remarquable d’un point de vue esthétique ou historique » (définition du Larousse) : un hommage à Flaubert, Hugo, Balzac ? Une expérience stylistique (très réussie) avec l’envie de s’immerger dans la langue du XIX° et ses mots oubliés ?
Mais qu’importe et que l’on ne s’y trompe pas : Ce livre est plus qu’un hommage ou un vrai faux roman du XIX° : Pas du Hugo, du Balzac ou du Flaubert, mais leur égal : du Chavassieux pur jus. Avec toute la malice et le brio singulier de celui qui sait emmener le lecteur et les personnages là où il veut… Avec les mots, qu’il aime tant, et les noms savamment choisis comme autant de boussoles.
Le roman, très contemporain, nous convie au concert (tantôt Wagner, Gorecki, chanson populaire, petite musique de chambre voire expérimentale façon Cage), au cinéma avec des scènes à couper le souffle, la puissance de l’écriture en lieu et place de la caméra. Et bien plus sûrement au théâtre avec sa galerie de personnages, et ses phrases en fin de chapitre comme un tombé de rideau. Sans compter le procédé brechtien pour nous rendre complice de ce qui se joue dans les pages ! Pas moyen de nous défausser : nous sommes pris au piège de nos émotions et notre esprit « bourrasque » face aux ruptures des destins ou , à contrario, face aux consternantes linéarités des vies qui se déroulent sous nos yeux : colère, empathie, admiration, détestation face aux personnages que l’écrivain modèle à sa guise… ou presque. Comme Abel Gance aux soldats figurants de « j’accuse », l’écrivain leur impose de bien terribles épreuves ; on lui en veut un peu, mais on lui pardonne bien vite car il nous invite à l’indulgence pour les plus détestables…
Et se forme au fil du récit un idéal hybride : nous rêvons secrètement à l’étoffe de Charlemagne, l’élégance de Jean Baptiste, « l’âme complète » et libertaire de Louis, la pétillance de Jeanne, la force de résilience d’Alma, celle de rédemption d’Ernest, la sagesse de Victor et la simplicité solaire du père Martanche…
Enfin, nous quitterons le livre à regret…
…Comme une mise en abyme, nous terminerons cette rencontre, assis à la table d’un écrivain. Nous fermerons la porte comme nous avons tourné la dernière page, en nous sentant plus beaux, plus riches et… plus vivants !" -
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Chaque année, je viens, à l'invitation de l'équipe de Marielle, présenter ma "carte blanche". Chaque année, je viens avec un nouveau livre, une brioche aux pralines, un ou des invités, et un ou des kilos en plus.
Cette année, ce seront trois invités et trois kilos.
Ce soir, nous évoquerons les ouvrages de la dernière sélection Lettres-Frontière (et incidemment, "L'Affaire des Vivants", qui a le bonheur et le privilège d'en faire partie).
Demain, c'est l'instant carte blanche avec, cette année, des potes auteur(e)s de BD. Tous issus de cette belle expérience que fut l'association Ikon&Imago, il y a.. hum... Euh... 15 ans !? Bref.
Léah Touitou, dessinatrice, vidéaste, bédéaste, globe-trotteuse, engagée sans se déclarer telle mais parce que c'est comme ça...
Quelqu'un qui va vous donner une pêche formidable. C'est peut-être le point commun de mes trois i
nvités, parce que Sarujin et Petelus n'engendrent pas spécialement la mélancolie, non plus.
Petelus, c'est un univers tellement singulier que... je ne saurais pas en parler. Le mieux est que vous veniez vous en faire une idée. J'espère bien, par mes questions, donner un aperçu de l'univers de ce cosplayer, vidéaste, mélomane, lecteur de Nietzsche et fin analyste des absurdités de la société (il en déniche qui m'étaient restées invisibles, c'est dire s'il est fort).
Quand à Sarujin, le stéphanois de la bande, il a fait lui aussi ses premières armes dans l'association roannaise, et se consacre désormais à son art. Comme les amis sus-cités, il s'exprime rarement sur son métier, et ce sera l'occasion d'évoquer son travail, de l'illustration pour des jeux, des couvertures de livres, chez Fleurus ou Bordas, la colorisation... J'insère ici un dessin que ce talentueux garçon avait réalisa pour me soutenir, lors de la censure de "J'habitais Roanne" par le Pays Roannais (hebdomadaire local). Une attention qui me touche toujours.
Ce sera donc, samedi matin à 11 heures, une rencontre passionnante, la découverte d'un métier aux multiples surprises (comment modifie-t-on une bulle de manga pour la remplacer par une onomatopée allemande interminable, sans détériorer l'ambiance du dessin original, par exemple).
Venez nombreux, ça en vaut vraiment la peine.
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