Quand je conclus une lettre ou un courriel par « porte-toi bien » ou « prends soin de toi », ce n'est pas une formule, je le pense vraiment, je VEUX que vous preniez soin de vous. Par pitié, faites attention à vous, les amis, par pitié, prenez soin de vous. Marre des deuils. Marre !
rencontres avec des gens biens - Page 27
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Et sinon, ça va ?
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Anapurna
Énorme chantier de réécriture en ce moment (en fait, depuis deux semaines). Après une entrevue avec mon nouvel éditeur, Frédéric Weil, de Mnémos, je me coltine une nouvelle ascension avec ce monstre de 600 pages (format édition) sur les épaules. Coupé, recomposé, retouché, repensé, refondu par endroits, re re re... J'espère enfin mettre un point final à ce manuscrit qui a attendu quinze ans pour trouver preneur. Un texte qui vient d'un temps où le monde du livre me semblait aussi accessible qu'une retraite à 50 ans. Un nouvel éditeur, oui, éditeur enthousiaste à qui je dois bien ce travail en profondeur de tout ce qui constitue le récit, forme et fond. A la droite du Diable sortira en septembre 2013. Il ne plaira sûrement qu'aux lecteurs d'une SF exigeante et hors norme (il y en a, je fus l'un d'eux, à l'époque), mais je suis tellement heureux que ce roman « inclassable » (dixit Frédéric Weil) parvienne enfin au jour, que je veux bien prendre le risque de déplaire ou de surprendre mes lecteurs fidèles. Aucun d'entre vous, qui m'avez lu jusque là, ne me reconnaîtra dans ce bouquin, je vous préviens, mais je sais qu'un certain public le recevra dans la jubilation. En 2014, retour aux récits « sérieux » si j'ose dire, et à l'écriture que vous savez. On peut bien s'octroyer quelque récréation, hein ?
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ALIROULU 2
Notre dernier pilote pour l'émission Aliroulu (cliquer sur le texte en gras précédent. Je le dis, parce que certains ne savent pas. Et oui. Sur la page qui s'ouvre alors, descendre un peu : la vidéo est sous la bannière. Je le dis parce que certains ne descendent pas. Si, si.) Toujours les judicieux conseils du carnet à Spirales, à Charlieu, le conseil d'une lectrice (l'excellent Peste & Choléra de Patrick Deville), et l'interview de Dominique Iacovella des éditions La Rumeur Libre.
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Ecrire, c'est effacer
Demain, séance de travail avec mon prochain éditeur. La première fois que je le rencontrerai. Pour préparer sa venue, depuis une semaine je m'immerge dans ce roman de mes débuts « sérieux », une première œuvre, monumentale, foisonnante, excessive, dont j'essaye de maîtriser le flux, que je tente de rendre plus nerveuse, moins lyrique, plus actuelle. J'ai fait ce travail mille fois depuis la première version, il y a plus de quinze ans, et je taille encore dans les mots, les phrases, les paragraphes, les chapitres, j'enlève, j'enlève, il en reste encore ! Ce livre demeurera un livre inscrit dans mon passé. Il en porte les stigmates, et je dois l'accepter. Je n'écris plus ainsi aujourd'hui, mais ma douce me rassure chaque jour : c'est son préféré. Alors...
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Rétro
Ce que je vais retenir de 2012, à part les problèmes de santé des proches, les inévitables deuils et les évitables naissances, à part les aléas de la vie et l'affirmation du bonheur que nous vivons à deux, c'est l'enchaînement de hasards qui m'amènent à porter désormais mon regard au delà de 2014, littérairement parlant. 2012, donc. Sortie de « J'habitais Roanne », avec des retours bienveillants et, malgré le boycott d'un journal local (dont je croyais le concours essentiel), un beau succès en librairie et par internet ; un manuscrit retenu chez Gaïa avant d'être retoqué en seconde lecture (mais pour moi, déjà, un petit triomphe), un manuscrit envoyé en pdf (rapide et économique, ce système) et retenu par Mnemos, puis contrat signé (sortie prévue courant 2013) ; un manuscrit présenté à Phébus et retenu pour sa collection de littérature française, puis contrat signé (sortie prévue pour la rentrée littéraire 2014) ; mes apparitions sporadiques sur ventscontraires, des publications dans « Microbe » et « Comme en poésie », une lecture sur la scène du cabaret poétique de Frédérick Houdaer, des textes pour Christine Muller et Jean-François Claustre, une commande de Corie Bizouard pour sa prochaine exposition (texte accepté par l'artiste, un soulagement). 2012 qui ouvre aussi sur 2013 avec : de petites émissions télé réalisées par MCA Prod, la mise en chantier de ma prochaine pièce par Nu compagnie, une préface pour une anthologie de textes sur Roanne et la perspective d'un nouvel opus avec Anne-Laure Héritier-Blanc (La petite fabrique), vous comprendrez que ce fut pour moi une année bénéfique, et porteuse de tant de promesses. Avoir l'automne 2014 pour horizon éditorial et donc 2015 pour horizon scripturaire (si vous me passez cette étrange expression) avec déjà des engagements plus lointains, est un confort que je n'ai jamais connu, une sécurité presque anxiogène (mais ça va passer). Confort qui va me permettre de me consacrer à quatre projets : deux romans, une pièce de théâtre et un essai.
Du côté des échecs, il y a eu l'abandon par Delcourt d'une série de BD, dont le premier album, contrat signé et travail payé, scénarisé et dessiné entièrement, ne sera donc jamais publié. Il y a aussi la commande d'une nouvelle pour une revue qui n'a finalement pas vu le jour. Si j'étais mature et conscient, ces expériences m'apprendraient à ne pas me réjouir si vite des nouvelles que je vous livre plus haut mais, que voulez-vous, je suis d'un naturel confiant. J'ai remarqué qu'en général, les gens se tiennent à ce qui est convenu. -
A lire ou Lu (ALIROULU)
Voici le premier pilote (il y en aura deux) d'une petite émission censée donner envie de lire. Yohann Subrin, réalisateur de MCA Production, m'a demandé de concevoir ce petit format. Je vous laisse découvrir. 15 minutes, guère plus, et un peu de légèreté pour parler de lecture avec bonheur. C'est simple. Aucune périodicité précise, mais peut-être 4 ou 6 numéros par an. Pour la petite histoire, je n'avais pas prévu que Jean-Luc Rocher (interview de fin), viendrait avec mon propre livre, je le jure.
Bon visionnage.
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Interlude
C'est un ami écrivain qui, il y a des années, m'a initié au principe du feuilleton. Les lectures de Jean Ray ou Maurice Leblanc nous avaient inspiré l'écriture d'une série en hommage, située vers 1920 : Les aventures d'Adrien Destalles, chaque roman bénéficiait d'un titre grand style : « La forteresse maudite », « le sang de la momie », etc. Il s'agissait de pondre très vide un épisode chacun, systématiquement suspendu à une suite par un « cliffhanger » de folie, que l'autre reprenait en se frottant les mains, etc. L'occasion de jeter un roman sur la machine à écrire en une grosse journée, de l'aube au crépuscule. C'était crevant, stimulant, jouissif. Vous aurez sans doute remarqué que le radical Hennelier n'est pas d'une grande qualité littéraire ; je ne le renie pas pour autant, mais ce feuilleton est un petit exercice futile effectué pendant que mes chantiers plus sérieux prennent forme. C'est ma façon de me changer les idées, écrire vite, sans relecture, m'amuser à créer du suspens tous les deux paragraphes. Je dois vous le confier : ce mode de détente comporte certains dangers. Le goût de l'efficacité peut prendre le pas sur une certaine recherche, et obliger à une période d'adaptation pour corriger les mauvaises habitudes prises dans la précipitation, quand il s'agira de se mettre à écrire de façon plus pensée. Curieux interlude, n'est-ce pas ? Je voulais seulement rassurer les personnes qui suivent mon travail : l'idée d'offrir de la bonne littérature ne m'a pas quitté. C'est juste la récré, quoi, ce feuilleton. J'espère que vous vous amuserez autant à le lire que moi à le produire.
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Côté lectures
Je n'oublie pas que je suis le parrain du club de lecture de la Médiathèque de Gilly-sur-Isère. J'ai ressorti mes notes et je vous propose ici ce que je retiens de mes lectures en 2012 : Sida mental de Lionel Tran, L'art français de la guerre d'Alexis Jenni, L'idée fixe de Paul Valéry, L'Exilé de René Pons, Un certain mois d'avril à Adana de Daniel Arsand, De si jolis chevaux de Mac Carthy, des nouvelles de Borges, Degrés de Michel Butor, Sept façons de tuer un chat de Matias Nespolo, Engeances de Frédérick Houdaer, Marius Beyle de Laurent Cachard, L'interrogatoire de Jacques Chessex, Ce qui stimule ma racontouze entretien avec Georges Pérec, L'auteur et moi d'Eric Chevillard, un inédit de Christian Degoutte, deux inédits de Daniel Arsand, Dans ma maison sous terre et Le cri du sablier de Chloé Delaume, Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan, Passion simple et La place d'Annie Ernaux, Les Nuits d'Hitachi de Sylvie Gracia, Dans la lumière des saisons de Charles Juliet, Hurraman Scriptu de Jean-Luc Lavrille, Explication des oiseaux de Lobo Antunes, Voyage avec mes ânes en côte roannaise de Jean-Yves Loude, Loin d'eux de Laurent Mauvignier, Amère indienne, Pierres de folie et Un homme à la mer d'Emmanuel Merle, L'odeur de l'Inde de Pasolini, Les choses, Un homme qui dort, Quel vélo à guidon chromé au fond de la cour et La vie mode d'emploi de Georges Pérec, Errata de Georges Steiner, Hangars de José-Flor Tappy, L'urgence et la patience de Jean-Philippe Toussaint, La journée vide de Joël Vernet, Dr Haricot de Fabrice Vigne.
Moins aimé : la trilogie new-yorkaise de Paul Auster (Cité de verre, Les revenants, La chambre dérobée), L'été du chien de Sylvie Gracia, La traversée de l'été de Truman Capote, Cour Nord d'Antoine Choplin, La horde du Contrevent de Damasio, Suites impériales de Easton Ellis, Excursion nocturne de Simon Narvaez, Les Revenentes de Georges Pérec, Le bagne de Jean Genet, Le grand homme de Philippe Soupault, pour ne parler que des plus intéressants (car je vous engage à les découvrir, c’est de la très bonne littérature tout cela, évidemment).Belles découvertes aussi : les revues Décapage, Le Tigre, Cabaret et Le Believer.
Voilà. Bonnes lectures.
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La nature est bien faite
Avez-vous remarqué que la taille des adultes, longueur des bras et des doigts, est calculée de façon à ce que les petits enfants qui commencent à marcher puissent s'accrocher pile-poil aux mains de leur grand-mère d'un côté, de leur grand-père de l'autre ?
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Du vent
Il tirait de son sentiment d'inutilité une sorte d'orgueil. Il ne voulait rien, ne décidait rien, ne produisait rien. Lorsqu'on lui fit valoir que son inertie provoquait malgré tout des effets, il en fut atterré. Dès lors, il fit comme les autres : il s'agita beaucoup, remua ciel et terre, œuvra, s'engagea, s'impliqua, et eut la satisfaction de constater enfin, après un rapide bilan, toute l’innocuité de son existence.
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Chacun sa merde
Parfois, j'assiste aux ravages de la saloperie de certains sur des personnes que j'aime bien, en tout cas, des personnes qui ne méritent pas qu'on leur fasse du mal. Là, j'aimerais bien planter la tête de ces enflures sur une pique ou leur envoyer plus sobrement mon pied dans l'entrecuisse ou encore leur coincer un coude dans un étau et serrer, enfin des choses bêtes qui soulagent. Et puis, je réalise que j'ai déjà les miens, de salopards, que je ne vais pas en plus m'occuper de ceux des autres. Je suis gentil et serviable, mais pas jusque là.
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La boulette
Le chef nous convoqua tous. Il voulait savoir qui avait envoyé notre dernier martyr se faire exploser dans le magasin où justement, on achetait nos détonateurs.
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Pas tout de suite
Un petit café. Avec un morceau de chocolat. Non, deux. Non, un. Voyons. Le monde, Courrier international, Le Monde diplomatique, Facebook, Les blogs, Laurent Cachard, Calamités quotidiennes, Eric Chevillard et Vents contraires, Humoétique. Tiens, un petit chocolat. Juste un carreau. Mes mails. Rien. Bon. Par la fenêtre, un chantier de l'autre côté de la route. Énorme excavation. Intéressante noria des camions. Bon. « L'art français de la guerre » est à portée de main, je lis quelques pages. C'est un superbe travail. Très bon roman (pour l'instant : je n'en suis qu'au premier tiers). Enfin un Goncourt qui tient la route. Je poursuis un peu « Le serment de Rome ». Désagréable impression de relire la prose du « Baiser de la Nourrice ». Même travail de la langue. Bien sûr, il est peu probable que Ferrari l'ait lu, mais je ne peux me débarrasser de cette idée, ligne après ligne. Vais abandonner, sûrement, ça parasite. Un coup de fil à un copain. Un tour sur Facebook. Envoyer un ou deux mails. Un petit café. Brosser le chat. Dehors, une bétonneuse manœuvre. Quoi de neuf sur Allociné ?
(soupir)
Toutes ces stratégies pour retarder le moment de l'écriture... -
Hypnose collective
Hier, une cinquantaine de personnes sont venues s'endormir au son de ma voix. Non, je vous assure : j'en ai vu, paupières tombées, épaules affaissées, se retenant de bailler. Je crois que je vais me reconvertir.
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Rencontre de novembre
Ce soir, à 18h30, nouvelle rencontre autour de mon livre "J'habitais Roanne", au musée Déchelette, à l'invitation des A2MR : les Amis du Musée et de la Médiathèque de Roanne.
En attendant, une courte mais sympathique évocation de ce livre sur ce blog.
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L'imposteur
C'est une chose assez incroyable, quand on y pense, d'inspirer de l'amour. Nous savons bien tous quelle est notre valeur, au fond, et qu'elle n’est pas si grande. Nous savons tous que nous ne méritons pas d'être aimés. Je me suis toujours senti plus petit que l'amour que j'inspirais. De la même façon, j'ai toujours pensé que j'aimais mal ou pas assez. Parce que tout l'amour qu'on me donnait dépassait mes moyens de paiement. J'ai une sacrée ardoise depuis le temps.
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Chut...
Il n'y aura pas de billet aujourd'hui. Pas d'autre que celui-ci, ces quelques mots laissés à votre compréhension. Je suis occupé aujourd'hui. Je m'occupe de ma douce. Je n'ai pas le temps. Pas le temps pour vous. Je souris en écrivant ces mots, parce que je vous devine souriant en les lisant. Si vous n'étiez pas des êtres bienveillants, nul doute que vous ne seriez pas fidèles à ce rendez-vous quotidien.
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Encore un moment
Si je disparais, elle ne fera pas semblant. Si je disparais, elle n'essayera pas de jouer la tête haute, l'orgueil, la douleur réprimée entre les mâchoires. Si je disparais, il n'y aura pas de chansons, pas de parlottes, pas de repas, de réception, d'accueil, de mots pour faire sourire du deuil, pour se dire : j'ai mal mais je vis. Si je disparais, elle me l'a dit, ce sera le malheur qui empoigne tout le corps et le démembre, le jette en vrac au sol. Je le sais, ma douce m'a prévenu : elle ne s'en remettra pas. Alors, j'ai décidé d'être immortel. Encore un moment.
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L'art textile tisse sa toile
Un autre magazine, exclusivement sur le net, celui-là, et encore : pour les possesseurs de tablette et autres écrans miniatures coûteux qui demandent la spoliation du sous-sol africain. L'info me vient de Catherine Chanteloube, artiste textile magnifique dont vous pouvez découvrir le travail ici. Et elle n'a pas besoin de tablette, elle. Son message :
"Si vous avez à portée de main un androïd ou une tablette, vous pourrez découvrir un dossier consacré au textile dans l'art, créé par ArtsHebdoMédia (www.artshebdomedias.com) mais uniquement disponible sur AppleStore et Google Play (téléchargement gratuit). On appelle ça un e-mag !
AppStore : http://itunes.apple.com/fr/app/arts-hebdo-medias/id530201169
Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.artshebdomedias.mag"Je pense que c'est bien, puisque Catherine le dit et qu'elle a toute ma confiance. je n'ai pas pu vérifier : comme vous l'aurez compris, je n'ai pas de tablette.
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Des femmes résistent
Pierre-Yves Ginet, photographe roannais (dont ceux qui ont lu "J'habitais Roanne" ont déjà entendu parler), se passionne depuis des années pour toutes ces femmes qui, partout sur la planète, oeuvrent pour une humanité meilleure. Cela passe souvent par une amélioration de la condition féminine, mais pas seulement : leur combat est utile pour tous. Pierre-Yves m'annonce la création de ce magazine auquel il participe. Voici la présentation du numéro zéro, consultable en ligne. Pour ma part, évidemment, je vais m'abonner, et je vous invite à rejoindre nombreux ce mouvement. J'ouvre les guillemets et laisse la parole aux créateurs de "femmes en résistance" :
"Avez-vous eu des informations sur la blogueuse syrienne Razan Ghazzawi ? Sur l’avocate chinoise Ni Yulan ? Sur les activités de la maison des femmes de Saint-Martin d’Hères ? Sur la résistance des Congolaises face aux violences sexuelles ? Sur les questions concernant les droits des femmes en France, Belgique ou Suisse ?...
Dans les médias, moins de 24 % de l'information est consacrée aux femmes. Et encore, elles sont souvent cantonnées à des thèmes dits “féminins”, quand elles ne sont pas présentées comme victimes. Afin de contrer cette image stéréotypée, l’association Femmes ici et ailleurs, en collaboration avec le photojournaliste Pierre-Yves Ginet, s’attèle depuis dix ans à faire connaître celles qui écrivent l'Histoire de notre temps. Tout en agissant en faveur de l'égalité, diffuser ce type d’informations permet de changer le regard et incite à l'engagement citoyen.
Aujourd’hui, nous lançons le magazine “Femmes en résistance”. Ce trimestriel met en lumière ces femmes, d’ici ou d’ailleurs, anonymes ou connues, qui font bouger les lignes. Dénoncer les atteintes aux droits des femmes, souligner les bonnes pratiques en faveur de l’égalité, révéler les violences et les avancées, qu’elles soient domestiques, économiques ou sociétales, témoigner de la force des victimes qui ont su se relever et s'engager... Telle est aussi notre démarche.
Vous trouverez ci-joint le n°0 de Femmes en résistance de mars/mai 2012 (exceptionnellement en numérique). Nous joignons également un bulletin d'abonnement ou de soutien, pour les prochaines publications. Nous vous remercions de transmettre ce message le plus largement possible autour de vous (vos amis, les établissements scolaires, les médiathèques…). Le premier numéro (septembre/novembre 2012) sera envoyé par voie postale en décembre.
Pour une consultation en ligne : http://femmesenresistancemag.wordpress.com/
“Femmes en résistance” est un magazine publié par une association, qui ne contient aucune publicité payante. Il ne perdurera qu'avec vos abonnements ou vos soutiens, que nous espérons nombreux."